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"Au cours de l’année 2021-2022, les chefs d’établissement du 2nd degré public et privé sous contrat ont déclaré en moyenne 12,3 incidents graves pour 1 000 élèves", relève une note d’information de la Depp du 1er février 2023 sur les résultats de l’enquête Sivis, soit une légère hausse (10,2 incidents graves pour 1 000 élèves en 2020-2021). Les incidents sont "moins fréquents dans les écoles publiques" (3,0 incidents graves pour 1 000 écoliers, contre 2,8 l’an dernier). Dans le public, les écoliers sont impliqués comme auteurs dans 58 % des incidents graves déclarés par les IEN. Dans le second degré, les collégiens et lycéens sont impliqués dans 93 % des incidents graves déclarés par les chefs d’établissement. Les garçons "sont davantage impliqués que les filles" dans les actes de violence, et les violences commises par des filles "s’exercent plus souvent dans le cadre du harcèlement".
Dans une déclaration lue à l’issue d’une réunion au siège parisien de Solidaires dans la foulée de la 10e journée de mobilisation contre la réforme des retraites le 28 mars 2023, l’intersyndicale annonce la poursuite des grèves et des manifestations au niveau interprofessionnel avec un nouveau rendez-vous national programmé jeudi 6 avril. Cette décision intervient après la fin de non-recevoir adressée par l’exécutif à la demande de médiation réclamée par les syndicats pour tenter de trouver une issue au conflit dans le dialogue. Avec comme préalable la mise en suspens de la réforme prévoyant le recul de 62 à 64 ans de l’âge légal de départ à la retraite qui fait l’objet de plusieurs recours devant le Conseil constitutionnel. L’intersyndicale continue donc d’afficher son unité alors que, de l’aveu même de Philippe Martinez, une incertitude existe désormais sur la position qu’adoptera la CGT à l’issue de son congrès réuni actuellement à Clermont-Ferrand et devant se solder par le départ du leader de la centrale de Montreuil et la désignation d’une nouvelle direction confédérale.