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Un arrêt de la Cour des comptes, prononcé le 2 décembre 2022, ordonne à l’ex-agent comptable de l’université d’Orléans de rembourser la somme de 44 443,24 €. La Cour a été saisie pour cinq créances d’un montant total de 140 408,63 € en raison de "l’insuffisance de diligences en vue de leur recouvrement", et aussi de "l’écriture, passée le 15 septembre 2016 [de leur] apurement au compte 119 'report à nouveau', en contradiction avec les textes réglementaires". En outre, "aucune délibération n’aurait été produite à l’appui de cette écriture, qui a eu pour effet de compromettre définitivement le recouvrement des créances, alors qu’elles n’auraient été ni prescrites, ni irrécouvrables". Dans son jugement, la Cour reconnaît ainsi l’existence de manquements et d’un préjudice financier pour deux créances, l’une de 22 318,40 € et l’autre de 22 124,84 €.
Dans une déclaration lue à l’issue d’une réunion au siège parisien de Solidaires dans la foulée de la 10e journée de mobilisation contre la réforme des retraites le 28 mars 2023, l’intersyndicale annonce la poursuite des grèves et des manifestations au niveau interprofessionnel avec un nouveau rendez-vous national programmé jeudi 6 avril. Cette décision intervient après la fin de non-recevoir adressée par l’exécutif à la demande de médiation réclamée par les syndicats pour tenter de trouver une issue au conflit dans le dialogue. Avec comme préalable la mise en suspens de la réforme prévoyant le recul de 62 à 64 ans de l’âge légal de départ à la retraite qui fait l’objet de plusieurs recours devant le Conseil constitutionnel. L’intersyndicale continue donc d’afficher son unité alors que, de l’aveu même de Philippe Martinez, une incertitude existe désormais sur la position qu’adoptera la CGT à l’issue de son congrès réuni actuellement à Clermont-Ferrand et devant se solder par le départ du leader de la centrale de Montreuil et la désignation d’une nouvelle direction confédérale.