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Après deux ans de report, les négociations finales sur le cadre décennal de la biodiversité post-2020 vont enfin s’ouvrir le 7 décembre à Montréal, sous présidence chinoise. Sur fond de contexte géopolitique tendu et de confiance Nord-Sud à peine rétablie depuis la COP 27 et l’accord sur les pertes et préjudices, les enjeux et attentes sont multiples. Qu'il s'agisse de l’ambition que se donneront les États en matière de protection et restauration des écosystèmes, de réduction des pesticides ou encore de diminution de l’empreinte environnementale. Mais aussi de la mobilisation de financements additionnels et de la mise en œuvre transparente des engagements, afin de ne pas réitérer l’échec des objectifs d’Aichi. Reste que le défaut de leadership politique pourrait entraver l’adoption d’un cadre ambitieux.