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D'après la Fesic (1), il existe une "injonction contradictoire de la part des pouvoirs publics" qui fixent des taux minimums de boursiers dans les contrats des Eespig, mais n’habilitent pas l’ensemble de leurs formations à les accueillir. Dans une interview accordée à AEF info le 23 novembre 2022, le président et la DG de l’association, Philippe Choquet et Delphine Blanc-Le Quilliec, demandent que les étudiants du privé non lucratif soient "traités comme les autres" en matière de vie étudiante. Ils souhaitent que l’État finance une exonération des frais d’inscription de leurs boursiers et s’inquiètent de devoir désormais contribuer financièrement aux services de santé des universités pour en faire bénéficier leurs étudiants. En outre, ils alertent sur le besoin de sensibiliser les jeunes aux différents types de diplômes pour contrer "le marketing très agressif des organismes à but lucratif".
"Le MESRI a demandé aux Eespig de renforcer leur engagement durant l’État d’urgence sanitaire et ils ont été pressés d’ouvrir de nouvelles places pour la rentrée 2020. Un soutien financier paraît en effet indispensable afin d’encourager [nos] efforts", réagit la Fesic, après la présentation du PLF 2021, le 28 septembre 2020, qui prévoit 9 millions d’euros supplémentaires pour les Eespig (lire ici). Mais "nous restons vigilants", ajoute-t-elle, évoquant le précédent de l’année passée : les Eespig ont touché 350 000 € de moins qu’en 2019 alors qu’une augmentation de 3 M€ était prévue pour 2020.