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Si le président de la République rejette l'idée d’indexer les salaires sur l’inflation, il considère "légitime" le débat sur le partage de la valeur d’une entreprise. "Je suis pour qu’il y ait dans les entreprises une négociation sociale qui permette, quand les choses vont bien, d’augmenter les salaires et de partager la valeur", affirme-t-il sur France 2 le 26 octobre 2022 (lire sur AEF info). "Le message que je fais passer aux chefs d’entreprise est qu’il n’y a pas de valeur durable que l’on crée si elle n’est pas justement partagée", estime le chef de l’État. Il justifie aussi sa proposition du dividende salarié, "à la main des partenaires sociaux" : "Quand il y a une augmentation des dividendes pour les actionnaires, il doit y avoir un mécanisme identique pour les salariés". Emmanuel Macron annonce enfin l’organisation d’une "grande conférence sur le partage de la valeur" dans le cadre du CNR.
Lorsqu’une substance toxique est utilisée illégalement par un employeur, les salariés qui y ont été exposés peuvent obtenir une indemnisation réparant l’atteinte à leur dignité, distincte de celle qui répare leur préjudice d’anxiété. C’est ce que retient la Cour de cassation dans un arrêt du 8 février 2023 qui figurera au rapport annuel. L’affaire concerne un site de Rhône Poulenc chimie, devenu Rhodia opérations, qui avait continué à utiliser de l’amiante illégalement entre 2002 et 2005.