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Home| Social / RH| Ressources humaines| Dépêche n°673949

Le salarié qui adhère au CSP ne peut se prévaloir du non-respect du délai d’envoi de la lettre de licenciement

La lettre que l’employeur adresse au salarié à qui il a proposé un contrat de sécurisation professionnelle n’a d’autre but que de lui notifier le motif économique du licenciement envisagé et de lui préciser qu’en cas de refus du CSP, elle constituerait la notification de son licenciement. Cette lettre n’a pas pour effet de rompre le contrat de travail, retient la Cour de cassation dans un arrêt du 1er juin 2022. Un salarié qui adhère au CSP ne peut dès lors pas se prévaloir du non-respect du délai d’envoi de la lettre de licenciement pour contester la rupture de son contrat.

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Ressources humaines

Aperçu de la dépêche Aperçu
Proposition de CSP : nul besoin de préciser le délai de 12 mois pour contester la rupture du contrat
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