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"L’élément le plus surprenant est l’absence de circulaire ministérielle sur la manière d’agir des préfets face aux collectivités" opposées au passage aux 1 607 heures, estime Vincent Cadoux, avocat au cabinet Seban, à propos des récentes décisions des tribunaux administratifs à l’encontre des communes franciliennes récalcitrantes. La transmission au Conseil d’État d’une QPC (question prioritaire de constitutionnalité) sur le non-respect du principe de libre administration de la loi Dussopt sur le temps de travail est une "première victoire", affirme l’avocat, qui défend plusieurs collectivités communistes du Val-de-Marne (1). Interrogé sur la suspension partielle de la réforme du temps de travail à la ville de Paris par le tribunal administratif, Vincent Cadoux pointe "une interprétation très stricte de la loi".