En plus des cookies strictement nécessaires au fonctionnement du site, le groupe AEF info et ses partenaires utilisent des cookies ou des technologies similaires nécessitant votre consentement.
Avant de continuer votre navigation sur ce site, nous vous proposons de choisir les fonctionnalités dont vous souhaitez bénéficier ou non :
Se limiter à recevoir dans un bureau un jeune sans qualification, sans formation et sans emploi, ne fonctionne pas, il faut "établir une relation de confiance" sur le terrain, juge Patrick Haquet, responsable du "Bureau des invisibles" de Bernay (Eure), interrogé par AEF info fin février 2022 alors qu'a été lancé, le 1er mars, le Contrat d’engagement jeune. Financé par le PIC, son projet prend fin et, pour qu’il perdure, il se projette dans la perspective du CEJ (1) dont il souhaite être partie prenante aux côtés de Pôle emploi. Si ce dispositif a obtenu des résultats probants, l’expérience s’est révélée nettement moins concluante dans les Hauts-de-France où l’amertume domine parmi les membres d’un consortium d’associations porteur d’un projet "Repérage des invisibles" également financé par le PIC. L’interruption brutale des financements s’est traduite, ici, par un "gâchis terrible".