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"Protéger les lanceurs d’alerte, ce n’est pas laisser place à la loi de la jungle", prévenait jeudi 20 janvier 2022 Catherine Di Folco, rapporteure de la commission des lois (LR) au Sénat, juste avant l’examen en séance publique de la proposition de loi relative aux lanceurs d’alerte. Le texte, ainsi que la proposition de loi connexe sur le Défenseur des droits, a été adopté dans la foulée, inquiétant la Maison des lanceurs d’alerte qui appelle les sénateurs "à la raison pour remédier à ce recul général lors de la commission mixte paritaire qui se tiendra le 1er février".
La HAS recommande, dans un avis publié mercredi, d’organiser à l’automne 2022 une campagne de rappel du vaccin Covid pour les personnes à risque, "en particulier, les personnes immunodéprimées et leur entourage, les personnes de 65 ans et plus et/ou présentant des comorbidités à risque de forme grave". Elle recommande également "d’envisager la vaccination des professionnels de santé au regard notamment des futures données d’efficacité vaccinale contre les formes asymptomatiques de la maladie". Dans le scénario d’évolution de l’épidémie que la HAS retient, l’impact de la circulation du virus serait moindre. L’incidence et le nombre de cas graves seraient découplés, ce qui conduirait à des vagues épidémiques de moins en moins graves. Néanmoins, l’augmentation de la proportion de personnes ayant une baisse d’immunité rendrait nécessaire l’administration périodique d’une dose de rappel.