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La proposition inattendue d’Anne Hidalgo, candidate socialiste à la peine dans les sondages, d’organiser une primaire de la gauche a rapidement réussi à faire l’unanimité de ses concurrents contre elle. Essuyant depuis le 8 décembre les refus des Insoumis, communistes et des écologistes. Reste qu’Arnaud Montebourg se dit prêt ce jour à appeler l’ensemble des candidats et que l’engouement pour la "primaire populaire", portée notamment par l’initiatrice de la convention citoyenne pour le climat Mathilde Imer, ne s’essouffle pas, soutenue par plus de 250 000 citoyens.
La maire socialiste de Paris Anne Hidalgo, qui a annoncé son entrée en campagne présidentielle le 12 septembre dernier et doit encore être officiellement désignée par son parti le 14 octobre, a dévoilé à Libération le 6 octobre 2021 de premières mesures de son programme en matière d’écologie : planification de transition écologique, débat public sur les éoliennes ou encore baisse des taxes sur le prix des carburants. Elle s’exprimera prochainement lors d’une "grande convention pour une République sociale et écologique", le 23 octobre à Lille.
Dans une interview accordée au JDD, le candidat des écologistes à la présidentielle 2022 Yannick Jadot a décliné les premières mesures qu’il prendrait s’il était élu le 24 avril prochain. Sortie de l’élevage industriel "dès le premier jour" et du nucléaire "en 20 ans", financement d’un plan de 50 Md€ par an dont 10 Md€ dédiés à la rénovation énergétique des logements, interdiction de vente des véhicules thermiques dès 2030… son programme prévoit aussi de "décarboner la finance" et d'"extirper" les lobbies des subventions publiques. Quant à la République, il veut la "déprésidentialiser".
Le Conseil d'État confirme le 22 mars 2023 l’annulation de l’homologation du document unilatéral relatif au plan de sauvegarde de l’emploi de l’Afpa, au motif que l’administration n’a pas vérifié le respect, par l’employeur, de ses obligations en matière de prévention des risques pour assurer la sécurité et protéger la santé physique et mentale des travailleurs. Les hauts magistrats précisent à cette occasion l’étendue du contrôle par l’administration, à l’occasion de l’examen d’un PSE, du respect, par l’employeur, de ses obligations en matière de prévention des risques psychosociaux.