En plus des cookies strictement nécessaires au fonctionnement du site, le groupe AEF info et ses partenaires utilisent des cookies ou des technologies similaires nécessitant votre consentement.
Avant de continuer votre navigation sur ce site, nous vous proposons de choisir les fonctionnalités dont vous souhaitez bénéficier ou non :
Porté par le rectorat de Versailles et l’université de Cergy CY notamment, le CMQ "Patrimoine et artisanat d’excellence" de Versailles a été inauguré le 9 novembre 2021. Situé dans la grande écurie du Château, ce "Harvard du pro", selon Jean-Michel Blanquer, est encore à l’état de "pilote". Lauréat du PIA 3, il se veut un lieu de rencontres entre lycéens de la voie professionnelle, étudiants, adultes en reconversion et professionnels des métiers du patrimoine. 1 000 personnes devraient être formées cette année, puis jusqu’à 6 000 à partir de 2025, une fois les travaux du campus achevés.
Souhaitant "poursuivre l’action de valorisation de la voie professionnelle", le recteur de région académique Grand Est Jean-Marc Huart (Nancy-Metz) va entamer fin septembre 2021 un "Campus Tour" axé sur les 11 CMQ labellisés de la région (dont 6 avec la mention "excellence"), indique-t-il le 27 août. Cette opération permettra de "travailler avec le monde professionnel" et devrait "aboutir à une initiative [telle que celle] prise il y a deux ans et qui avait très bien fonctionné, à savoir la Semaine des lycées professionnels". Une impulsion sera donnée en particulier au volet "ouverture à l’international" des réseaux de CMQ. Dans l’académie de Nancy-Metz, les vœux des familles vers la voie professionnelle se sont accrus de 2,7 points entre 2017 et 2021 (passant de 27,2 % à 29,9 %). "Le regard sur la voie professionnelle est en train de changer", estime Jean-Marc Huart.
La deuxième chambre civile de la Cour de cassation rappelle dans un arrêt du 12 mai 2022 que l’accord d’intéressement déposé hors délai n’ouvre droit aux exonérations que pour les périodes de calcul ouvertes postérieurement à son dépôt. Elle approuve une cour d’appel ayant jugé qu’il s’agissait d’une condition de fond au bénéfice immédiat de l’exonération des cotisations, et confirme la condamnation d’une entreprise à payer 407 000 euros de redressement et majorations de retard.