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"Ce n’est pas aux institutions de recherche d’être les arbitres des controverses" (webinaire HCERES-AEF, 3/3)

Alors que la série de webinaires "spécial Covid-19" co-organisés par le HCERES et AEF info s’est clôturée le 22 octobre (lire sur AEF info), voici la dernière synthèse de la session du 15 octobre consacrée à l’impact de la crise sur le système de recherche français. Cette table ronde réunissant Ghislaine Filliatreau (Inserm), Stéphanie Ruphy (Ofis) et Fabrice Rousselot (The Conversation), a porté sur les enjeux de la diffusion des résultats de recherche (usage des preprints, rôle des éditeurs, place des revues prédatrices…) et de la prise de parole scientifique dans un contexte de crise. Voici le replay.

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Après s’être penchés sur les forces et les faiblesses du système d’organisation de la recherche française telles que révélées par la crise sanitaire (écouter l’intervention de Christian Bréchot ici et lire la synthèse de la table ronde ici), les experts réunis par le HCERES et AEF info lors de la 3e session de leur série spéciale de webinaires, le 15 octobre 2021, ont abordé l’épineuse question de la diffusion des résultats de recherche en période d’urgence et celle de la prise de parole des scientifiques dans le débat public. 

"Les chercheurs ont été mis sur le devant de la scène médiatique et le regard du public sur les interventions des spécialistes a été contrasté", observe Pierre Glaudes, directeur du département d’évaluation de la recherche du HCERES, en introduction. Parfois, des prises de position publiques sont apparues "sans le socle de protocoles scientifiques irréfutables", note-t-il, d’où des débats sur la notion de "médiation scientifique". 

 

"Les chercheurs passent par un système éditorial : il faut s’interroger sur le rôle des éditeurs scientifiques."

Pierre Glaudes

 

"Les chercheurs passent par un système éditorial : il faut s’interroger sur le rôle des éditeurs scientifiques", estime donc Pierre Glaudes. "Les espaces sont-ils aussi diversifiés que souhaité ? Quelle est l’incidence des revues prédatrices sur la diffusion des résultats de recherche ? Et quel est l’effet des preprints sur la compréhension de la science ?" 

"un brouhaha informatif difficile à gérer" (F. Rousselot, The Conversation)

Directeur de la rédaction de The Conversation, Fabrice Rousselot témoigne de la grande prudence dont a fait preuve ce média durant toute la période de crise, notamment en rapport aux preprints. "Le sujet du Covid a été repéré par nos équipes dès le mois de décembre 2019, mais rien n’a été écrit dans The Conversation avant fin février-début mars 2020", assure-t-il. "On a pris le temps. La recherche s’est mobilisée, tout le monde voulait écrire, alors il a fallu être prudent. Nous étions dans un brouhaha informatif difficile à gérer, entre les réflexions sur le vaccin, le confinement, les masques, etc." Fabrice Rousselot raconte que, face à ce flot d’informations, The Conversation "a réagi en collaborant avec les chercheurs". 

"Nous n’avons passé que deux articles sur la base de preprints, et ce, en le précisant à chaque fois, en pesant le pour et le contre, après de longues discussions avec les chercheurs et tous les rédacteurs en chef au niveau international, car The Conversation compte au total neuf sites dans quatre langues. Cela représente 90 000 à 100 000 chercheurs qui collaborent et quelque 80 millions de lecteurs par mois", précise-t-il. "Nous avons donc une responsabilité."

"Ce n’est pas aux institutions d’être les arbitres des controverses scientifiques" (G. Filliatreau)

De son côté, Ghislaine Filliatreau, déléguée à l’intégrité scientifique de l’Inserm, raconte avoir été "interpellée fortement par des interlocuteurs qui voulaient 'faire retirer des articles', en tant que référente du secteur biomédical". "Mais la certification des résultats de recherche, c’est le rôle des éditeurs", affirme-t-elle. "Ce sont eux qui prennent la décision de publication ou de rétractation, souverainement. Ce n’est pas aux institutions de recherche d’être les arbitres des controverses scientifiques."

"Il y a différents acteurs qui, en théorie, ont chacun un rôle bien défini et qui devraient travailler harmonieusement, mais cela n’a pas été le cas", constate-t-elle. "Il est difficile d’identifier le rôle de chacun et leur interdépendance." 

Ghislaine Filliatreau considère ainsi qu’il faut "faire évoluer le système" : "On peut revenir sur le rôle des institutions pour cadrer les choses, pour garantir que leurs chercheurs se livrent bien à des controverses scientifiques, critiquent les articles qui doivent l’être, alertent, etc. Cela doit être fait par une aide à la façon dont ils interviennent dans le débat, dont ils s’expriment, par quelle voie ils le font", dit-elle. "Les institutions agissent en tant qu’employeurs : elles demandent à leurs chercheurs de faire attention à la façon dont ils publient – et notamment dans les revues prédatrices. On ne peut pas, nous, aller plus loin que la formation et l’appui au cadrage." 

"faire évoluer tout le canal de l’expression des résultats de la recherche" 

"D’autre part, il faut faire évoluer tout le canal de l’expression des résultats de la recherche", poursuit la déléguée à l’intégrité scientifique de l’Inserm. "Il faut accompagner les discussions scientifiques, notamment dans le biomédical, dans un large débat structuré, dans un cadre clair, depuis les preprints jusqu’à la post-publication. On a manqué de clarté." 

Elle souligne que "les éditeurs ne les ont pas toujours aidés" : "Il n’y a pas toujours eu de sécurité, comme on le présupposait, sur la certification des connaissances. Ce n’est pas seulement un problème de revues prédatrices, c’est aussi toutes les difficultés d’un système très complexe, aux intérêts non convergents, et avec une vision de l’intégrité scientifique qui n’est pas la même pour tous les acteurs", observe-t-elle. "Il nous faut donc ouvrir le jeu, donner plus de transparence aux processus pour permettre aux acteurs de mieux se positionner les uns par rapport autres." 

"une énorme responsabilité médiatique" sur le choix des experts (F. ROUSSELOT)

Au sujet des difficultés entourant la prise de parole scientifique dans les médias, Fabrice Rousselot souligne combien le facteur temps est stratégique : "Le problème des médias, c’est leur immédiateté, l’information en continu", dit-il. "Il y a une énorme responsabilité médiatique sur ce qu’on appelle les 'experts' : tout le monde s’invente expert de tout et de n’importe quoi – et donc, de rien. Mais on ne peut pas labelliser des experts du jour au lendemain ! C’est dangereux. Il existe d’ailleurs une défiance de la population envers les journalistes, il y a là un travail de fond à faire."

Il rappelle que The Conversation est né de la volonté d’un journaliste australien de "donner la parole directement aux experts". "Il voulait placer la véritable expertise au cœur de l’actualité. Dans ce contexte de fake news et de désinformation, on a de plus en plus besoin de cette expertise. Donc nous passons beaucoup de temps à identifier les bonnes personnes, à vérifier ce qu’elles ont publié", dit-il.

un "travail de liaison" à faire entre les mondes scientifique et médiatique 

 

"Aujourd’hui, aucun expert ne peut être intégré à notre plateforme média sans indication sur sa spécialité, ses publications, etc. C’est un élément de crédibilité de la parole de l’expert."

Fabrice Rousselot

 

"Pendant la crise, nous recevions 80 à 100 sollicitations par jour, mais beaucoup étaient des tribunes ou des opinions ne relevant pas du domaine d’expertise de leurs auteurs !", raconte aussi Fabrice Rousselot. "On a eu des discussions avec eux. On a un autre outil, qui est notre back-office : aujourd’hui, aucun expert ne peut être intégré à notre plateforme média sans indication sur sa spécialité, ses publications, ses références, son établissement, etc. C’est un élément de crédibilité de la parole de l’expert."

"En dix ans d’existence, avec nos 90 000 experts, nous n’avons eu qu’un seul souci, avec quelqu’un qui ne nous avait pas signalé son changement d’institution et de spécialité. On a dû retirer son article", indique le journaliste. "Cela prouve que le système marche. Mais il y a un énorme travail à faire en termes de liaison entre le monde scientifique et le monde médiatique. Nous y sommes au cœur, mais il faudrait que cela se développe dans d’autres médias", considère Fabrice Rousselot. 

"les règles de base de l’intégrité scientifique ne sont pas ancrées" (G. Filliatreau)

Pour Ghislaine Filliatreau, ce qui s’est passé pendant la crise "n’est pas bon pour l’image de la science, ni pour la qualité des débats scientifiques". "Des controverses entre différents scientifiques ni cadrées, ni calées, des expertises pas du tout identifiées, de la surenchère… C’est une pierre dans notre jardin. On sent que les règles de base de l’intégrité scientifique ne sont pas ancrées auprès de nos professionnels", observe-t-elle. "Les chercheurs n’ont pas l’habitude de se positionner vis-à-vis du public et vis-à-vis d’eux-mêmes : dire à quel titre ils s’expriment, où s’arrête leur expertise, préciser s’ils s’expriment en tant qu’experts ou en tant que citoyens… Il y a un mélange confus et peu de culture du cadrage."

De plus, dit-elle, "l’expertise sur les liens d’intérêt est peu ou mal ancrée dans les pratiques". "Il faut tout reprendre et rendre routiniers des dispositifs simples, par égard pour le public, qui a besoin de mettre de la cohérence. Il faut l’aider a minima avec des informations de ce type", souligne Ghislaine Filliatreau

faire de la crise une opportunité pour "repassionner" le public pour la recherche 

Mais la déléguée à l’intégrité scientifique de l’Inserm considère aussi que, dans le champ du biomédical, la crise sanitaire a constitué "un crash test" : "On a vu comment fonctionnait la recherche en train de se faire : tout le monde l’a vue en live et l’a ressentie", dit-elle. "On a entendu dire que 'c’était normal', que c’était comme ça que progressait la recherche. Il s’agit maintenant de prendre au sérieux l’ouverture de facto sur cette réalité, car c’est une manière de regagner en crédibilité. C’est une opportunité de pouvoir mieux comprendre comment les chercheurs avancent, tâtonnent et gagnent en fiabilité, au travers des avancées partielles qu’ils obtiennent." 

 

"La recherche, c’est avancer dans le noir. On explore ce qu’on ne connaît pas : il faut donner à voir cette exploration, car elle est de nature à redonner confiance au public et aux chercheurs eux-mêmes."

Ghislaine Filliatreau

 

"Il faut développer une culture commune entre le chercheur et le public, pour contextualiser", poursuit Ghislaine Filliatreau. Elle fait également un lien avec le sujet de l’open science, avec tous ces "collectifs de chercheurs" ou "collectifs mixtes" qui sont apparus. "Il y a tout ce qu’il faut en intelligence distribuée", dit-elle. 

"La recherche, c’est avancer dans le noir. On explore ce qu’on ne connaît pas : il faut donner à voir cette exploration, car elle est de nature à redonner confiance au public et aux chercheurs eux-mêmes dans leurs entreprises", veut croire l’experte, qui appelle à "faire de cet incident une opportunité". "Cela aidera à repassionner le public pour la recherche ; et cela montrera aussi par l’exemple l’aspect collectif de la recherche. C’est le bon moment pour aller dans cette direction."

Fabrice Rousselot opine, soulignant lui aussi "des éléments positifs dans cette crise" : "le public a appris et découvert le monde de la recherche, ses doutes et ses incertitudes". "De la même façon qu’on a créé une éducation aux médias, pourquoi n’y aurait-il pas une éducation à la recherche et à sa façon de fonctionner ?", propose-t-il.  

"se poser la question d’une forme de régulation a posteriori" (S. Ruphy, ofis)

Revenant sur la prise de parole publique des chercheurs, Stéphanie Ruphy, directrice de l’Ofis, évoque des "formes d’autorégulation par les pairs". "On peut imaginer que la prise de parole soit moins individuelle et plus collective", dit-elle à la suite de Christian Bréchot (lire sur AEF info). "On peut aussi se poser la question d’une forme de régulation a posteriori, comme on le fait pour les publications. On pourrait évaluer aussi cette dimension-là du métier de chercheur, ses prises de position publiques."  

"À l’heure actuelle, on a moins de maturité sur les standards de bonnes pratiques en matière de prise de parole publique qu’en matière de publications scientifiques", reconnaît-elle cependant. "Mais ces pistes seront explorées par l’Ofis lors d’un grand colloque, au printemps prochain, qui aura justement pour sujet de réfléchir à des bonnes pratiques. C’est particulièrement intéressant parce qu’on touche là à des questions de liberté académique, voire de liberté d’expression du chercheur à titre individuel. Y a-t-il des limites à poser au nom de la qualité du débat public ? Rendez-vous en juin !"

 

"Il faut réfléchir à des mécanismes de soutien et d’accompagnement de tout chercheur qui veut rentrer dans l’arène publique."

Stéphanie Ruphy

 

Stéphanie Ruphy plaide aussi pour le développement de "l’expertise sur l’expertise", c’est-à-dire "le développement de l’apprentissage de critères qui permettent d’accorder sa confiance à un expert plutôt qu’à un autre, même si on ne comprend pas vraiment ce que dit l’expert". 

Enfin, elle ajoute que les institutions doivent "soutenir" leurs chercheurs, qui sont "beaucoup montés au front" dans l’espace public. Les attaques dont ils font l’objet "peuvent avoir des conséquences : des phénomènes d’autocensure, de sélection des chercheurs qui vont aller dans l’arène publique et d’autres pas", souligne-t-elle. "Il faut réfléchir à des mécanismes de soutien et d’accompagnement de tout chercheur qui veut entrer dans l’arène publique." 

T. Coulhon : "quelle est la courbe d’apprentissage de ce pays ?"

En conclusion de la session consacrée à la recherche française face à la crise du Covid-19, Thierry Coulhon, président du HCERES, observe que "les difficultés qui sont apparues dans ces conditions sont des difficultés anciennes et préexistantes". "La grande question qui se pose, c’est quelle est la courbe d’apprentissage de ce pays en la matière", dit-il. 

Au niveau du HCERES, "quelles leçons tirer ?". "On a plus que jamais une attention à porter à la coordination entre les acteurs", répond-il, ajoutant que "les alliances ont été décevantes" et que "c’est un sujet". "Quand on fera des synthèses disciplinaires – archéologie, virologie/épidémiologie – on essaiera de dresser un tableau des forces et faiblesses du champ", promet-il aussi. Il aborde également la question des relations entre l’Ofis et le HCERES : "C’est l’Ofis qui va faire bouger le HCERES. J’espère qu’on va le voir sur la manière dont on pose des questions sur l’intégrité scientifique, et plus largement des questions de déontologie."

 

"On a plus que jamais une attention à porter à la coordination entre les acteurs."

Thierry Coulhon

 

Il évoque ensuite le manque de relations entre le MESRI et le ministère de la Santé, pointé par Christian Bréchot lors de son intervention. "Un des premiers rapports que j’ai trouvés sur mon bureau en arrivant au HCERES était celui sur l’Inserm", raconte Thierry Coulhon. "Il n’y avait rien à dire sur le niveau du comité, dirigé par Fiona Watt, directrice du Medical Research Council (Royaume-Uni). J’ai voulu faire une conférence de presse avec quelques membres du comité – car cela me paraît naturel : si on fait des rapports, ils doivent être lus et connus. Mais ce jour-là, le MESRI et le ministère de la Santé 'avaient piscine'… C’est sans doute un peu de ma faute, mais cela dit quelque chose."

Enfin, sur la question de la régulation de la science – "et l’évaluation est une forme parmi d’autres de régulation" – Thierry Coulhon estime que c’est "aussi au HCERES de se rebrancher sur le milieu". "Il faut que le milieu se régule et s’autorégule de mille manières, et nous essaierons de tenir modestement notre rôle là-dedans, en particulier grâce à l’Ofis", conclut-il. 


quatre webinaires HCERES-AEF info sur l’impact de la crise

 

La rentrée 2021 a été l’occasion, pour le HCERES et AEF info, de mener un partenariat inédit pour ausculter les premiers effets à moyen terme de la crise sanitaire du Covid-19 sur le système d’enseignement supérieur et de recherche français, après 18 mois de très fortes turbulences (lire sur AEF info). 

Vous pouvez retrouver les vidéos de ces quatre webinaires ci-dessous, ainsi que les synthèses écrites qui en ont été faites :

  • Session 1 : "Enseigner à l’aune de la crise sanitaire" (01/10/21) 

Partie 1 :  Quelles pédagogies dans l’après-crise Covid ?

Partie 2 : Formation, carrières, temps de service : de nouvelles perspectives pour la pédagogie ?

  • Session 2 : "Quelles conditions de vie et d’études pour les générations post-Covid ?" (08/10/21) 

Partie 1 :  Vie étudiante : l’impact multiforme de la crise renouvelle fortement les pratiques

Partie 2 : Précarité étudiante : une urgence à améliorer la coordination et à établir de meilleurs indicateurs 

  • Session 3 : "Quelles incidences de la crise sur la recherche ?" (15/10/21) 

Partie 1 :  Christian Bréchot : "L’impact de la France à l’international sur le Covid a été très limité"

Partie 2 : Covid : en France, l’ESRI n’a pas été considéré comme un acteur de la résolution de la crise

Partie 3 : "Ce n’est pas aux institutions de recherche d’être les arbitres des controverses"

  • Session 4 : "Quels effets de la crise sur la gouvernance et la GRH des établissements ?" (22/10/21) 

Partie 1 :  Comment les gouvernances universitaires se sont-elles adaptées durant la crise sanitaire ?

Partie 2 : Télétravail : quel effet sur le service rendu, les encadrants, les femmes ou l’usage des locaux ?


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Sarah Piovezan, journaliste