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Danièle Meslier, présidente de l’ADMS (Association nationale des métiers de la sécurité), est décédée, lundi 4 octobre 2021. Elle a succombé "à une maladie foudroyante", indique l’organisation professionnelle de surveillance humaine et de sécurité électronique, qui doit, dans les prochaines semaines, devenir officiellement représentative au sein de la branche des entreprises de prévention et de sécurité. La profession rend hommage à l’engagement "passionné" de Danièle Meslier pour la sécurité privée pendant plus de vingt ans.
Le ministère du Travail présente, mercredi 7 juillet 2021, les résultats provisoires de la mesure de l’audience de la représentativité patronale. Au niveau de la branche des entreprises de prévention et de sécurité, le GES reste en première position avec 74,89 % des salariés des entreprises adhérant aux organisations professionnelles représentés, devant le Sesa (9,79 %) et le GPMSE télésurveillance (8,96 %). L’ADMS (Association nationale des métiers de la sécurité), qui regroupe 68 entreprises et 6 147 salariés, devrait devenir représentative au sein de la branche, à hauteur de 6,36 %.
L’Association nationale des métiers de la sécurité rejoint la Fédération française de la sécurité privée comme "membre associé", annonce sa présidente, Danièle Meslier, dans un communiqué adressé à AEF info, jeudi 26 septembre 2019. "La politique de la FFSP rejoint la nôtre sur beaucoup de points, comme la mise en valeur de l’entreprise patrimoniale et des territoires", indique la présidente de l’ADMS. Présidée par Claude Tarlet depuis sa création en 2013, la FFSP réunit une quinzaine d’organisations patronales du secteur de la sécurité privée.
Dans une déclaration lue à l’issue d’une réunion au siège parisien de Solidaires dans la foulée de la 10e journée de mobilisation contre la réforme des retraites le 28 mars 2023, l’intersyndicale annonce la poursuite des grèves et des manifestations au niveau interprofessionnel avec un nouveau rendez-vous national programmé jeudi 6 avril. Cette décision intervient après la fin de non-recevoir adressée par l’exécutif à la demande de médiation réclamée par les syndicats pour tenter de trouver une issue au conflit dans le dialogue. Avec comme préalable la mise en suspens de la réforme prévoyant le recul de 62 à 64 ans de l’âge légal de départ à la retraite qui fait l’objet de plusieurs recours devant le Conseil constitutionnel. L’intersyndicale continue donc d’afficher son unité alors que, de l’aveu même de Philippe Martinez, une incertitude existe désormais sur la position qu’adoptera la CGT à l’issue de son congrès réuni actuellement à Clermont-Ferrand et devant se solder par le départ du leader de la centrale de Montreuil et la désignation d’une nouvelle direction confédérale.