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L’arrêté fixant les montants du Smic et du minimum garanti applicables à compter du 1er octobre 2021 est publié au Journal officiel du 30 septembre. En application des règles légales de revalorisation du salaire minimum, compte tenu de l’inflation, le Smic est "majoré de 2,2 %". En conséquence, son montant est fixé à 10,48 euros brut de l’heure en métropole, en Guadeloupe, en Guyane, en Martinique, à La Réunion, à Saint-Barthélemy, à Saint-Martin et à Saint-Pierre-et-Miquelon. Dans ces territoires, le Smic mensuel brut s’établit à 1 589,47 euros, contre 1 554,58 euros depuis le début de l’année. À Mayotte, son montant s’élève à 7,91 euros de l’heure. Quant au minimum garanti, son montant est fixé à 3,73 euros.
Le gouvernement a décidé d’appliquer strictement le mécanisme légal de revalorisation du Smic, annonce le ministère du Travail, mercredi 15 septembre 2021. Le salaire minimum augmentera donc dans la même proportion que l’indice des prix à la consommation hors tabac des 20 % de ménages les plus modestes depuis la dernière revalorisation, soit +2,2 %. Ainsi, le Smic horaire brut passera de 10,25 euros à 10,48 euros à compter du 1er octobre prochain. Le Smic mensuel brut s’établira à 1 589,47 euros, contre 1 554,58 euros depuis le début de l’année.
Le Smic va être revalorisé au 1er octobre 2021, en application des mécanismes légaux d’augmentation. En effet, selon les données publiées par l’Insee mercredi 15 septembre 2021, l’indice des prix à la consommation pris en compte
Dans une déclaration lue à l’issue d’une réunion au siège parisien de Solidaires dans la foulée de la 10e journée de mobilisation contre la réforme des retraites le 28 mars 2023, l’intersyndicale annonce la poursuite des grèves et des manifestations au niveau interprofessionnel avec un nouveau rendez-vous national programmé jeudi 6 avril. Cette décision intervient après la fin de non-recevoir adressée par l’exécutif à la demande de médiation réclamée par les syndicats pour tenter de trouver une issue au conflit dans le dialogue. Avec comme préalable la mise en suspens de la réforme prévoyant le recul de 62 à 64 ans de l’âge légal de départ à la retraite qui fait l’objet de plusieurs recours devant le Conseil constitutionnel. L’intersyndicale continue donc d’afficher son unité alors que, de l’aveu même de Philippe Martinez, une incertitude existe désormais sur la position qu’adoptera la CGT à l’issue de son congrès réuni actuellement à Clermont-Ferrand et devant se solder par le départ du leader de la centrale de Montreuil et la désignation d’une nouvelle direction confédérale.