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Un arrêté publié au Bulletin officiel du ministère de l’Intérieur du 27 août 2021 acte la création d’une nouvelle force au sein du GIGN, la "force antennes". Évoqué par le commandant du groupe, le général Ghislain Réty dans une interview à AEF info, ce rattachement engendre une hausse des effectifs de l'"unité hautement spécialisée" de la gendarmerie. La "force formation" est supprimée parmi les attributions du GIGN au profit de la création d’un "centre national de formation à l’intervention spécialisée".
Le GIGN est, pour des raisons budgétaires, "en train de perdre la capacité de descente en corde lisse d’un hélicoptère de manœuvre", s’inquiète le général Richard Lizurey, jeudi 10 octobre 2019, devant les députés de la commission de la Défense. Lors de l’une de ses dernières auditions en tant que DGGN – la dernière à l’Assemblée nationale, dont le compte rendu vient d’être publié –, il aborde de nombreux thèmes d’actualité pour la gendarmerie, parmi lesquels la question des militaires mis en cause, l’intelligence artificielle, ou encore la création d’un service de traitement centralisé des données Lapi.
"Est-ce qu’il ne vaut pas mieux avoir des gendarmes qui courent moins vite, qui sont moins forts, mais qui vont nous faire progresser davantage Nous sommes en pleine réflexion là-dessus." C’est ce qu’affirme le colonel Laurent Phélip, commandant du GIGN, lors d’une conférence organisée samedi 27 janvier 2018 à la direction générale de la gendarmerie nationale à Issy-les-Moulineaux (Hauts-de-Seine). Le commandant de l’unité d’élite suggère ainsi le développement de certaines compétences techniques, notamment en matière d’informatique, au sein du GIGN. Laurent Phélip évoque par ailleurs le schéma national d’intervention dévoilé en 2016, qui précise les modalités d’action des unités de la gendarmerie et de la police nationales en cas d’attaque terroriste.