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Après le SNPDEN (lire sur AEF info), l’IGÉSR (lire sur AEF info) ou l’Afae (lire sur AEF info), c’est au tour de la Depp de publier une étude sur le vécu des personnels de direction de la période de confinement du printemps 2020. Celle-ci concerne aussi les inspecteurs pédagogiques et les CPE. Ces personnels sont "globalement satisfaits de la mise en œuvre de la continuité pédagogique". Ils estiment que la période "a nécessité plus d’autonomie et d’initiative qu’en temps ordinaire" et que le maintien du lien avec les familles et les élèves fut "une mission essentielle". Ils ont trouvé la communication entre personnels "satisfaisante", que les échanges entre chefs d’établissement étaient "réguliers" mais "plus rares avec les élus". Leur jugement est "nuancé sur l’utilité des directives transmises". La Depp avait publié une étude sur le vécu des élèves de cette période (lire sur AEF info).
Lorsqu’une substance toxique est utilisée illégalement par un employeur, les salariés qui y ont été exposés peuvent obtenir une indemnisation réparant l’atteinte à leur dignité, distincte de celle qui répare leur préjudice d’anxiété. C’est ce que retient la Cour de cassation dans un arrêt du 8 février 2023 qui figurera au rapport annuel. L’affaire concerne un site de Rhône Poulenc chimie, devenu Rhodia opérations, qui avait continué à utiliser de l’amiante illégalement entre 2002 et 2005.