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Le changement climatique est partout et "s’aggrave", la hausse de température mondiale d’1,5°C sera atteinte voire dépassée avant 2040 mais "rien n’est perdu", affirme le 9 août à AEF info Christophe Cassou. Directeur de recherche au CNRS et climatologue au Cerfacs, il est l’un des auteurs du premier volet du sixième rapport du Giec sur les bases physiques du changement climatique publié le 9 août (lire sur AEF info). Dans cette interview, il insiste sur le fait que la période est cruciale, "c’est aujourd’hui que nous décidons de notre chemin futur", sachant que "chaque fraction de degré additionnel compte" pour déterminer le futur climat et ses effets et que "passer d’1,5°C à 2 °C aura une importance considérable sur les changements de statistique des évènements extrêmes".
Le Giec (Groupe intergouvernemental d'experts sur l'évolution du climat) a présenté, vendredi 27 septembre 2013, à Stockholm, le premier volume de son cinquième rapport, qui renforce les conclusions dressées dans le précédent daté de 2007 et établit quatre scénarios pour le réchauffement de la planète et la montée des océans d'ici la fin du siècle. Parmi ses principales conclusions, ce premier volume consacré aux éléments scientifiques du climat formule de nouvelles certitudes quant aux liens entre les activités humaines, la concentration de CO2 et le changement climatique et apporte de nouveaux indicateurs sur les conséquences du réchauffement : hausse de la température, montée des eaux, fonte des glaces, événements extrêmes, acidification des océans… Les scientifiques évaluent aussi pour la première fois « le budget carbone » restant d'ici la fin du siècle pour maintenir la température en deçà de 2°C.
L’article 1er de la loi n° 2021-1678 du 17 décembre 2021 "visant à l’accompagnement des enfants atteints de pathologie chronique ou de cancer" a créé un congé spécifique pour les parents lors de l’annonce "d’une pathologie chronique nécessitant un apprentissage thérapeutique ou d’un cancer" chez leur enfant (lire sur AEF info). Le décret n° 2023-215 du 27 mars 2023 fixe la liste des pathologies ouvrant droit à ce congé spécifique. Pour les salariés du secteur privé, la durée minimale de ce congé qui "n’entraîne pas de réduction de la rémunération" est de deux jours, mais elle peut être allongée par accord de branche ou d’entreprise. La loi ne précise pas la durée du congé pour les agents publics.