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Dans un avis de ce vendredi 6 août, la Haute autorité de santé (HAS) se prononce en faveur de l'autorisation d'accès précoce au traitement Ronapreve (casirivimab et imdevimab) de Roche-Regeneron. Il permet de prévenir la survenue d'une forme sévère de Covid-19 chez les personnes immunodéprimés, pour qui le schéma vaccinal complet n'est pas efficace. La HAS estime qu'en France, 130 000 patients sont aujourd'hui concernés.
"La situation sanitaire actuelle, avec l’accélération de la circulation active du variant Delta, est très préoccupante et impose des mesures vigoureuses en matière de vaccination anti-Covid", alerte ce 19 juillet l’Union nationale des professions libérales. "La vaccination est le moyen le plus efficace pour se protéger et protéger les autres. Il y a eu trop de morts et de destructions d’emplois", insiste son président Michel Picon. L’Unapl appelle donc "à l’action" et "appuie sans réserve l’obligation vaccinale pour tous les soignants et personnels en contact avec des patients et personnes fragiles", "et les mesures relatives l’utilisation du passe sanitaire dans tous les espaces collectifs." L’Unapl incite les professionnels de santé libéraux à la vaccination, "le seul moyen efficace à notre disposition" et à encourager leurs 5 millions de patients quotidiens à faire de même.
Si la situation épidémique s’améliore, le virus reste présent sur le territoire "avec la diffusion de variants plus contagieux", constate la Haute autorité de santé le 1er juillet 2021 dans un avis actualisé sur la vaccination. "L’enjeu aujourd’hui est de poursuivre la vaccination", ce qui nécessite de démultiplier les actions auprès des personnes vulnérables et précaires face à la Covid-19 et non vaccinées ainsi qu’auprès des professionnels à leur contact, à commencer par les soignants et les professionnels des établissements sociaux et médico-sociaux. "La question de l’obligation vaccinale devra être rapidement posée" pour ces derniers, et en fonction de l’évolution de l’épidémie et de la couverture vaccinale [pour] "l’ensemble de la population". La veille, Jean Castex avait annoncé devant le Sénat vouloir consulter "les élus locaux et les présidents des groupes politiques" en ce sens.
Les personnes de 16 et 17 ans "souffrant d’une pathologie à très haut risque de forme grave de Covid-19" sont désormais autorisées à se faire vacciner, annonce le ministère de la Santé dans un DGS Urgent, ce jeudi 6 mai. En mars dernier, la HAS avait actualisé la liste de ces pathologies comprenant notamment les personnes présentant un diabète, un cancer, une insuffisance respiratoire ou cardiaque, une maladie hépatique chronique ou encore des troubles psychiatriques. À ce stade, ils ne sont éligibles qu’au vaccin Pfizer-BioNTech et pourront recevoir leur dose en centre de vaccination.