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"Sans équivoque", l’activité humaine est la cause du réchauffement de l’atmosphère, de l’océan et des terres, établit le Giec, qui publie lundi 9 août 2021 le premier volet de son 6e rapport d’évaluation. Une synthèse des travaux scientifiques publiés sur le climat depuis 2014 dont il ressort que le seuil d’1,5°C sera atteint voire dépassé avant 2040 et que la température à la surface du globe continuera d’augmenter "au moins jusqu’au milieu du siècle". L’instance souligne que des réductions "fortes et soutenues" des émissions de gaz à effet de serre "limiteraient" le changement climatique.
Le Giec (Groupe intergouvernemental d'experts sur l'évolution du climat) a présenté, vendredi 27 septembre 2013, à Stockholm, le premier volume de son cinquième rapport, qui renforce les conclusions dressées dans le précédent daté de 2007 et établit quatre scénarios pour le réchauffement de la planète et la montée des océans d'ici la fin du siècle. Parmi ses principales conclusions, ce premier volume consacré aux éléments scientifiques du climat formule de nouvelles certitudes quant aux liens entre les activités humaines, la concentration de CO2 et le changement climatique et apporte de nouveaux indicateurs sur les conséquences du réchauffement : hausse de la température, montée des eaux, fonte des glaces, événements extrêmes, acidification des océans… Les scientifiques évaluent aussi pour la première fois « le budget carbone » restant d'ici la fin du siècle pour maintenir la température en deçà de 2°C.
Lorsqu’une substance toxique est utilisée illégalement par un employeur, les salariés qui y ont été exposés peuvent obtenir une indemnisation réparant l’atteinte à leur dignité, distincte de celle qui répare leur préjudice d’anxiété. C’est ce que retient la Cour de cassation dans un arrêt du 8 février 2023 qui figurera au rapport annuel. L’affaire concerne un site de Rhône Poulenc chimie, devenu Rhodia opérations, qui avait continué à utiliser de l’amiante illégalement entre 2002 et 2005.