En plus des cookies strictement nécessaires au fonctionnement du site, le groupe AEF info et ses partenaires utilisent des cookies ou des technologies similaires nécessitant votre consentement.
Avant de continuer votre navigation sur ce site, nous vous proposons de choisir les fonctionnalités dont vous souhaitez bénéficier ou non :
Depuis le premier confinement, la crise sanitaire a suscité de multiples initiatives au sein de la Carsat Hauts-de-France, constate son directeur, Christophe Madika. "Chacun a essayé de se rendre utile, avec son vécu, son histoire, ses moyens", relate-t-il, lors d’une rencontre avec AEF info fin juin 2021. "Cette effervescence a rapproché les gens, en bousculant la ligne hiérarchique", relève-t-il. Malgré les confinements, le plan de transformation interne engagé en 2019 s’est poursuivi. "Nous avons changé énormément de choses au cours des derniers mois, en faisant évoluer notre organisation, nos métiers, nos méthodes de recrutement et notre offre de services", explique Christophe Madika. Son objectif : préparer la Carsat aux réformes à venir et à l’irruption du numérique et du big data. Nouveau volet de notre série d'interviews de l'été sur "la Sécu dans la crise".
La Carsat Nord Picardie et Les Papillons blancs de Lille veulent faciliter le départ à la retraite des personnes en situation de handicap : une convention signée le 31 mai 2017 à Seclin (Nord) prévoit de faciliter leurs démarches administratives. Des réunions d’information seront organisées dans les Esat gérés par l’association, pour expliquer le fonctionnement des régimes de retraite et les droits spécifiques des travailleurs handicapés ou des aidants familiaux. Des entretiens individuels pourront aussi être organisés. Le personnel de la Carsat sera formé à l’accueil des personnes en situation de handicap intellectuel. Après avoir fait valoir leurs droits, les retraités bénéficieront du service d’action sociale de la Carsat (aide ménagère à domicile, aide au retour à domicile après hospitalisation, aide à l’habitat, actions de prévention…).
Lorsqu’une substance toxique est utilisée illégalement par un employeur, les salariés qui y ont été exposés peuvent obtenir une indemnisation réparant l’atteinte à leur dignité, distincte de celle qui répare leur préjudice d’anxiété. C’est ce que retient la Cour de cassation dans un arrêt du 8 février 2023 qui figurera au rapport annuel. L’affaire concerne un site de Rhône Poulenc chimie, devenu Rhodia opérations, qui avait continué à utiliser de l’amiante illégalement entre 2002 et 2005.