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Le 15 juin 2021, au CTMEN, toutes les organisations syndicales (FSU, SE-Unsa, Sgen-CFDT, CGT éduc'action, Snalc) ont voté contre le projet de texte visant, notamment, à instaurer une part modulable à la dernière tranche de la prime REP+ (lire sur AEF info). En cas de vote unanimement défavorable, le MEN est tenu de convoquer un nouveau vote et un CTM s’est donc tenu ce 24 juin. Les syndicats ont de nouveau rejeté le texte à l’unanimité. Dans un communiqué commun, ils regrettent que "le texte présenté ce jour soit identique en tout point" au précédent et que le ministre "reste campé dans sa posture et dénie tout contenu au dialogue social". Ils estiment que ce texte "crée une mise en concurrence des écoles et du collège au sein d’un même réseau et au sein d’une même académie". Ils demandent l’abandon de la part variable "au profit d’une augmentation de la part fixe, identique pour tous".
"Tous les personnels affectés de manière pérenne en REP + recevront une prime de 1 000 € nets à la rentrée 2018", déclare Édouard Geffray, DGRH du ministère de l’Éducation nationale, le 2 juillet 2018. Ces 1 000 € sont une portion de la prime de 3 000 € promise aux enseignants de REP + par le gouvernement. Les modalités de versement des 2 000 € restants seront discutées avec les organisations syndicales d’ici l’automne. Une partie de la prime pourrait être conditionnée à la réalisation d’un "projet d’établissement et aux progrès des élèves".