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"Nous avons été alertés de façon unanime sur des difficultés de convocations des élèves, mais également pour celles des enseignants concernés par les épreuves de français, de philosophie ou du grand oral". Bruno Bobkiewicz, secrétaire général du SNPDEN-Unsa, faisait ainsi état, le 9 juin 2021, de retards dans les envois de ces convocations, en particulier aux examinateurs et correcteurs. "Nous l’avons signalé au ministère. C’est très limite en termes d’organisation, et on a du mal à l’expliquer car c’est un fonctionnement connu", poursuit le proviseur. Le 11 juin, les sections de Paris, Créteil et Versailles du Snes-FSU constataient également des retards qu’ils qualifient, dans un communiqué, d’une "nouvelle marque de mépris" résultant d’un manque d’anticipation. En fin de semaine dernière, le SNPDEN et le Snes de l’académie de Lille faisaient le même constat.
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