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Réunis en séance publique le 10 juin 2021, les sénateurs ont adopté, en 1re lecture, la proposition de loi visant à créer un ticket-restaurant étudiant, après sa modification en commission : la mesure ne serait instaurée que sur les sites où les structures de restauration des Crous sont absentes. Frédérique Vidal n’est de son côté "pas convaincue" par cette mesure coûteuse. Selon elle, la solution pour les quelque "190 sites isolés" est plus à chercher du côté de la nouvelle contractualisation entre les sites universitaires et les collectivités, associant les Crous, prévue par la LPR.
La commission de la culture du Sénat adopte, le 2 juin 2021, la PPL déposée à l’Assemblée nationale par Anne-Laure Blin (LR), et reprise au Sénat par le sénateur Pierre-Antoine Lévi (UC), visant à mettre en place un "ticket restaurant" pour les étudiants. Cette PPL prévoit que l’étudiant paie une part équivalente à 3,30 € (tarif social étudiant), qui sera complétée ensuite par l’État (lire sur AEF info). "La couverture territoriale en matière de restauration étudiante est aujourd’hui très inégale privilégiant les grandes agglomérations au détriment de certaines antennes universitaires. Avec cette proposition, les étudiants auront ainsi la possibilité de bénéficier d’un tarif social y compris lorsqu’il n’y a pas de Crous à côté de leur site universitaire", indiquent Anne-Laure Blin et Stéphane Piednoir dans un communiqué. La PPL sera présentée en séance publique le 10 juin.
Dans une déclaration lue à l’issue d’une réunion au siège parisien de Solidaires dans la foulée de la 10e journée de mobilisation contre la réforme des retraites le 28 mars 2023, l’intersyndicale annonce la poursuite des grèves et des manifestations au niveau interprofessionnel avec un nouveau rendez-vous national programmé jeudi 6 avril. Cette décision intervient après la fin de non-recevoir adressée par l’exécutif à la demande de médiation réclamée par les syndicats pour tenter de trouver une issue au conflit dans le dialogue. Avec comme préalable la mise en suspens de la réforme prévoyant le recul de 62 à 64 ans de l’âge légal de départ à la retraite qui fait l’objet de plusieurs recours devant le Conseil constitutionnel. L’intersyndicale continue donc d’afficher son unité alors que, de l’aveu même de Philippe Martinez, une incertitude existe désormais sur la position qu’adoptera la CGT à l’issue de son congrès réuni actuellement à Clermont-Ferrand et devant se solder par le départ du leader de la centrale de Montreuil et la désignation d’une nouvelle direction confédérale.