En plus des cookies strictement nécessaires au fonctionnement du site, le groupe AEF info et ses partenaires utilisent des cookies ou des technologies similaires nécessitant votre consentement.
Avant de continuer votre navigation sur ce site, nous vous proposons de choisir les fonctionnalités dont vous souhaitez bénéficier ou non :
Partant du constat que les PME et TPE sont moins protégées contre les cyberattaques que les grandes entreprises, la délégation aux entreprises du Sénat formule, dans un rapport présenté ce jeudi 10 juin, 22 propositions "pour développer le cercle vertueux de la cyberprotection". Les élus préconisent de renforcer les dispositifs d’urgence en cas de cyberattaque, de consolider les services de police et de justice dédiés à la lutte contre la cybercriminalité, d’encadrer davantage le rôle des assurances, et de développer des solutions de cybersécurité "simples et mutualisées" pour les PME et TPE.
Le chiffre d’affaires de la filière de la cybersécurité a augmenté de 11,5 % en 2020 en France, s’établissant à 8,348 milliards d’euros, indique l’Alliance pour la confiance numérique, dans son "Observatoire de la filière de la confiance numérique", publié mardi 8 juin 2021. Les services de cybersécurité, en particulier, croissent "à un rythme bien supérieur à celui des services numériques", note l’organisation qui rassemble des sociétés de cybersécurité et de sécurité numérique. Un phénomène qu’elle attribue à "l’augmentation continue des cyberattaques" et à la numérisation due au Covid-19.
Dans une déclaration lue à l’issue d’une réunion au siège parisien de Solidaires dans la foulée de la 10e journée de mobilisation contre la réforme des retraites le 28 mars 2023, l’intersyndicale annonce la poursuite des grèves et des manifestations au niveau interprofessionnel avec un nouveau rendez-vous national programmé jeudi 6 avril. Cette décision intervient après la fin de non-recevoir adressée par l’exécutif à la demande de médiation réclamée par les syndicats pour tenter de trouver une issue au conflit dans le dialogue. Avec comme préalable la mise en suspens de la réforme prévoyant le recul de 62 à 64 ans de l’âge légal de départ à la retraite qui fait l’objet de plusieurs recours devant le Conseil constitutionnel. L’intersyndicale continue donc d’afficher son unité alors que, de l’aveu même de Philippe Martinez, une incertitude existe désormais sur la position qu’adoptera la CGT à l’issue de son congrès réuni actuellement à Clermont-Ferrand et devant se solder par le départ du leader de la centrale de Montreuil et la désignation d’une nouvelle direction confédérale.