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"Le recteur de Rennes doit cesser de subventionner, d’aider, le prosélytisme des associations de l’Église catholique", affirme le Snep-Unsa dans un communiqué daté du 7 juin 2021. Le syndicat affirme que le recteur Emmanuel Ethis permet à ces associations (DDEC, Sgec, CAEC) "d’utiliser le serveur professionnel Toutatice à des fins de propagande, voire même de prosélytisme religieux". Le Snep avait déjà écrit au recteur à ce sujet, en novembre dernier. La réponse du rectorat, en date du 29 mars 2021, conclut qu’aucun des contenus incriminés n’a pu être identifié. Il précise que l’ENT Toutatice EC (adapté à l’enseignement catholique de Bretagne) peut "diffuser des informations et des contenus respectueux de la vision éducative promue par l’enseignement catholique", selon les termes de la convention en élaboration, qui liera le rectorat et l’enseignement catholique de Bretagne.
Dans un communiqué du 16 mars 2020, le Snep-Unsa indique "assigner en justice" (au tribunal d’instance) les organisations composant la Commission académique de l’emploi (CAE), qui traite notamment du mouvement des maîtres du privé. Le syndicat assure que les membres de cette commission - des associations (DDEC, Sgec), des syndicats (FEP-CFDT, CGT-EP, Spelc, Snec-CFTC) et des organisations de directeurs (Snceel, Unetp, Synadec) - "refusent à notre organisation de pouvoir participer à cette instance" alors que "la jurisprudence prévoit que toutes les organisations syndicales représentatives peuvent participer". En outre, le Snep estime que ces organisations n’ont pas "eu l’accord du ministère pour signer un accord professionnel sur l’emploi" et qu’elles "utilisent des critères (sociaux, familiaux…) malgré le refus du ministère de prendre en compte ceux-ci pour nos demandes de mutation".