Continuer sans accepter

Bonjour et bienvenue sur le site d’AEF info
Vos préférences en matière de cookies

En plus des cookies strictement nécessaires au fonctionnement du site, le groupe AEF info et ses partenaires utilisent des cookies ou des technologies similaires nécessitant votre consentement.

Avant de continuer votre navigation sur ce site, nous vous proposons de choisir les fonctionnalités dont vous souhaitez bénéficier ou non :

  • Mesurer et améliorer la performance du site
  • Adapter la publicité du site à vos centres d'intérêt
  • Partager sur les réseaux sociaux
En savoir plus sur notre politique de protection des données personnelles

Vous pourrez retirer votre consentement à tout moment dans votre espace « Gérer mes cookies ».
Home| Social / RH| Ressources humaines| Dépêche n°653538

Le VRP doit renoncer à l’indemnité de clientèle, même non due, pour bénéficier de l’indemnité spéciale de rupture

Pour bénéficier de l’indemnité spéciale de rupture, le VRP doit avoir renoncé à l’indemnité de clientèle au plus tard dans les 30 jours suivant l’expiration de son contrat. Peu importe, précise la Cour de cassation dans un arrêt publié du 2 juin 2021, que le VRP remplisse ou non les conditions pour prétendre au versement de l’indemnité de clientèle. Le bénéfice de l’indemnité spéciale de rupture n’est pas subordonné à la reconnaissance d’un droit à l’indemnité de clientèle.Dans tous les cas, pour bénéficier de l’indemnité spéciale de rupture, le VRP doit renoncer à l’indemnité de clientèle

Cette dépêche est réservée aux abonnés
Il vous reste 89 % de cette dépêche à découvrir.

  • Retrouver l’intégralité de cette dépêche et tous les contenus de la même thématique
  • Toute l’actualité stratégique décryptée par nos journalistes experts
  • Information fiable, neutre et réactive
  • Réception par email personnalisable
TESTER GRATUITEMENT PENDANT 1 MOIS
Test gratuit et sans engagement
Déjà abonné(e) ? Je me connecte
  • Thématiques
  • Coordonnées
  • Création du compte

Thématiques

Vous demandez à tester la ou les thématiques suivantes*

sur5 thématiques maximum

1 choix minimum obligatoire
  • Social / RH
  • 👁 voir plus
    ✖ voir moins

Fréquence de réception des emails*

Un choix minimum et plusieurs sélections possibles. Vous pourrez modifier ce paramétrage une fois votre compte créé

Un choix minimum obligatoire

* Champs obligatoires

Coordonnées

Renseignez vos coordonnées*

Veuillez remplir tous les champs
Votre numéro de téléphone n'est pas valide

* Champs obligatoires

Création de compte

Tous les champs sont obligatoires
Votre adresse e-mail n'est pas valide
Seulement les adresses e-mails professionnelles sont acceptées

Cette adresse vous servira de login pour vous connecter à votre compte AEF info

Votre mot de passe doit contenir 8 caractères minimum dont au moins 1 chiffre
Ces mots de passe ne correspondent pas. Veuillez réessayer

Votre mot de passe doit contenir 8 caractères minimum dont 1 chiffre

En validant votre inscription, vous confirmez avoir lu et vous acceptez nos Conditions d’utilisation, la Licence utilisateur et notre Politique de confidentialité

* Champs obligatoires

Valider

Merci !

Nous vous remercions pour cette demande de test.

Votre demande a été enregistrée avec l’adresse mail :

Nous allons rapidement revenir vers vous pour vous prévenir de l’activation de votre nouvel accès.

L’équipe AEF info


Une erreur est survenue !

Une erreur est survenue lors de l'envoi du formulaire. Toutes nos excuses. Si le problème persiste, vous pouvez nous contacter par téléphone ou par email :
 service.clients@aefinfo.fr  01 83 97 46 50 Se connecter

à lire aussi
À défaut de local professionnel, un salarié itinérant a droit à une indemnité d’occupation professionnelle de domicile

Un salarié peut prétendre à une indemnité au titre de l’occupation de son domicile à des fins professionnelles dès lors qu’un local professionnel n’est pas mis effectivement à sa disposition. Cette indemnité est due à tous les salariés qui travaillent en dehors de tout établissement, rappelle la Cour de cassation dans un arrêt non publié du 9 septembre 2020, notamment à ceux qui exercent des fonctions à caractère itinérant.

Lire la suiteLire la suite
Un employeur ne peut refuser de rembourser des frais au motif que le salarié n’a rien réclamé durant huit ans

Dans le cadre d’une demande de résiliation judiciaire de son contrat de travail, un commercial reproche à son employeur de ne pas lui avoir remboursé ses frais professionnels. L’employeur peut-il justifier son refus par le fait que le salarié n’a rien réclamé pendant huit ans ?

Lire la suiteLire la suite
Un VRP peut prétendre à une indemnité d’occupation de son domicile à des fins professionnelles

Un VRP, comme tout autre salarié, peut prétendre à une indemnité d’occupation de son domicile à des fins professionnelles, même s’il travaille nécessairement en dehors de tout établissement. C’est ce que juge la Cour de cassation dans un arrêt publié le 27 mars 2019. Elle indique également que les commissions de retour sur échantillonnages entrent dans l’assiette de calcul de l’indemnité de congés payés.

Lire la suiteLire la suite
Un VRP licencié pour inaptitude après un long arrêt maladie a droit à une indemnité de clientèle

En cas de rupture du contrat de travail par l’employeur, et en l’absence de faute grave, le VRP a droit à une indemnité de clientèle réparant le préjudice lié à la perte de la clientèle apportée, créée ou développée par lui. Dans l’hypothèse où un VRP est licencié pour inaptitude après plusieurs années d’arrêt maladie, le montant de cette indemnité doit-il être arrêté à la date de la suspension du contrat de travail pour maladie, ou au moment du licenciement, date à laquelle le VRP n’a plus de clientèle ? La Cour de cassation valide dans un arrêt du 19 novembre 2014 la décision d’une cour d’appel d’évaluer cette indemnité à la date du début de l’arrêt de travail.

Lire la suiteLire la suite
VRP: l'employeur ne peut exiger le versement d'une clause de "rachat de carte clientèle"

"Un représentant de commerce ne peut être valablement tenu, par une clause de son contrat de travail, de payer la valeur de la clientèle qu'il est chargé de visiter pour le compte de son employeur", énonce la chambre sociale de la Cour de cassation, dans un arrêt du 3 octobre 2007.

Lire la suiteLire la suite