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Home| Social / RH| Ressources humaines| Dépêche n°653015

Le point de départ du délai pour prononcer une rétrogradation après le refus d’une mutation disciplinaire est précisé

L’employeur qui prononce une mutation disciplinaire notifie au salarié une proposition de modification de son contrat de travail. Si le salarié refuse, le délai de prescription de deux mois pour sanctionner une faute est suspendu. La convocation du salarié à un nouvel entretien préalable en vue d’une rétrogradation doit intervenir dans les deux mois de ce refus. La Cour de cassation précise, le 27 mai 2021, que ce délai court à partir de la date fixée par l’employeur au salarié pour accepter ou refuser la mutation. Peu importe qu’il ait refusé expressément postérieurement.

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L’acceptation par le salarié de la modification du contrat de travail proposée par l’employeur à titre de sanction n’emporte pas renonciation de son droit à contester la régularité et le bien-fondé de la sanction. C’est ce que précise la Cour de cassation dans un arrêt publié du 14 avril 2021. Le salarié peut en effet contester sa sanction devant le conseil des prud’hommes, auquel il appartient d’apprécier si la procédure suivie est régulière et si les faits reprochés au salarié sont de nature à justifier une sanction.

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Ne justifie pas la prise d'acte de la rupture de son contrat de travail par une salarié revenant d'un congé maternité le seul fait pour l'employeur d'avoir désigné au poste de supérieur hiérarchique un collaborateur qu'elle avait auparavant encadré, dès lors que les fonctions et les responsabilités de cette salariée n'ont pas changé. Dans ces conditions, cette désignation ne constitue pas une rétrogradation. C'est ce que décide la chambre sociale de la Cour de cassation dans un arrêt du 3 juillet 2013 non publié .

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