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"Pour 85 % des salariés, l’entreprise est perçue comme ayant un comportement éthique", ce qui passe par la mise en place d’une politique éthique mais aussi par les dimensions RSE et l’engagement RH qui viennent "nourrir cette perception", selon le baromètre de l’éthique en entreprises 2020 réalisé par Ipsos pour La Poste et le CEA et publié vendredi 7 mai 2021. Si l’éthique et la conformité apparaissent sous un nouveau jour depuis la crise, la question de la sensibilisation et de la formation de l’ensemble des salariés se pose toujours avec acuité. La raison d’être semble devenir un levier.
Le Bureau d’analyse sociétale pour une information citoyenne (Basic) publie lundi 11 juin 2018 la seconde édition de son rapport "Anti-jeu. Les sponsors laissent les travailleurs sur la touche". Nike et Adidas, qui équipent 22 équipes engagées dans le Mondial de football dont le coup d’envoi est prévu pour le 14 juin, y sont visés. Le rapport, qui pointe l’écart abyssal entre les gains générés par les deux équipementiers sportifs et la part revenant aux ouvriers des pays du sud asiatique, dénonce un modèle tourné vers "la maximisation des bénéfices" destinés aux actionnaires.
Dans une déclaration lue à l’issue d’une réunion au siège parisien de Solidaires dans la foulée de la 10e journée de mobilisation contre la réforme des retraites le 28 mars 2023, l’intersyndicale annonce la poursuite des grèves et des manifestations au niveau interprofessionnel avec un nouveau rendez-vous national programmé jeudi 6 avril. Cette décision intervient après la fin de non-recevoir adressée par l’exécutif à la demande de médiation réclamée par les syndicats pour tenter de trouver une issue au conflit dans le dialogue. Avec comme préalable la mise en suspens de la réforme prévoyant le recul de 62 à 64 ans de l’âge légal de départ à la retraite qui fait l’objet de plusieurs recours devant le Conseil constitutionnel. L’intersyndicale continue donc d’afficher son unité alors que, de l’aveu même de Philippe Martinez, une incertitude existe désormais sur la position qu’adoptera la CGT à l’issue de son congrès réuni actuellement à Clermont-Ferrand et devant se solder par le départ du leader de la centrale de Montreuil et la désignation d’une nouvelle direction confédérale.