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L’UPJV a signé lundi 22 mars 2021 un partenariat avec le parquet d’Amiens, la DDSP de la Somme et une association d’aide aux victimes pour "faciliter la révélation de violences sexuelles ou sexistes" qui seraient commises au sein de l’université, de logements universitaires ou lors de rassemblements étudiants. L’université pourra saisir directement un référent policier au commissariat d’Amiens et signaler les faits au parquet via une adresse mail dédiée. L’association AYLF - France Victimes 80 s’engage quant à elle à offrir dans les 48 heures un soutien personnel à la victime. Une hotline a été ouverte par le service de santé universitaire de l’UPJV pour répondre à la détresse psychologique des étudiants pendant le confinement : elle a reçu plusieurs appels concernant des agressions sexuelles à l’extérieur de l’université. Un témoignage a débouché sur un dépôt de plainte.
Après une première charte contre les discriminations signée en avril 2020 par les écoles de management, le Bureau national des étudiants en école de management (BNEM) annonce la création, le 23 novembre 2020, d’une charte d’engagement sur la responsabilité étudiante contre le sexisme et les discriminations, en partenariat avec la CGE (lire sur AEF info). Elle vise à "informer, sensibiliser, et cadrer pour limiter et prévenir toutes discriminations et violences au sein des écoles de management", mais a vocation à s’ouvrir à tous types d’établissements du supérieur pour qu’ils l’adaptent à leur tour d’ici janvier 2021, indique l’association. "La diffusion et signature de la charte s’inscriront dans une démarche plus globale de mobilisation, avec notamment la tenue de conférences ou encore d’ateliers de sensibilisation", précise-t-elle par communiqué.
Le Conseil d'État confirme le 22 mars 2023 l’annulation de l’homologation du document unilatéral relatif au plan de sauvegarde de l’emploi de l’Afpa, au motif que l’administration n’a pas vérifié le respect, par l’employeur, de ses obligations en matière de prévention des risques pour assurer la sécurité et protéger la santé physique et mentale des travailleurs. Les hauts magistrats précisent à cette occasion l’étendue du contrôle par l’administration, à l’occasion de l’examen d’un PSE, du respect, par l’employeur, de ses obligations en matière de prévention des risques psychosociaux.