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"On a une génération qui est à l’agonie. Il faut arrêter avec les mesures ponctuelles, la précarité ce n’est pas que sur un an", déclare Mélanie Luce, présidente de l’Unef lors de la journée de mobilisation nationale du 16 mars 2021 contre la précarité étudiante. Plusieurs centaines d’étudiants ont manifesté à Paris et en région pour réclamer un plan d’urgence de 1,5 milliard d’euros avec une augmentation "immédiate" des bourses et APL, le retour en présentiel à 50 % dans les universités et un cadrage national pour les examens.
"Depuis presque un an, nous réclamons avec force un plan d'urgence et des moyens supplémentaires pour faire face aux défis inédits que représente la crise sanitaire pour l'enseignement et pour la recherche. [...] L’université est quasiment à l’arrêt, les décrochages d’études s’aggravent et se multiplient, la recherche publique est en danger et, si rien n’est fait dans les semaines qui viennent, c’est la rentrée 2021 qui sera menacée", estime le SNTRS-CGT dans un communiqué diffusé le 12 mars 2021. Le syndicat appelle à rejoindre la journée nationale de mobilisation étudiante prévue le 16 mars "afin de mettre en lumière la situation dramatique subie par les étudiants". Il se joint aux revendications des organisations de jeunesse qui réclament, entre autres, un plan d’urgence d’1,5 milliards d'euros contre la précarité étudiante avec une augmentation "immédiate" des bourses et des APL.