En plus des cookies strictement nécessaires au fonctionnement du site, le groupe AEF info et ses partenaires utilisent des cookies ou des technologies similaires nécessitant votre consentement.
Avant de continuer votre navigation sur ce site, nous vous proposons de choisir les fonctionnalités dont vous souhaitez bénéficier ou non :
L'EMA rendra jeudi son nouvel avis sur la vaccination contre le Sars-Cov-2 avec le vaccin d'AstraZenaca. Quatorze pays de l'UE ont annoncé avant le week-end, puis lundi 15 mars pour l'Italie et l'Allemagne et la France, suspendre la vaccination avec ce vaccin à la suite du signalement d'une trentaine d'effets indésirables graves sans que le lien avec ce vaccin n'ait été formellement établi. Un communiqué de l'EMA précise que les investigations se poursuivent et que des analyses rigoureuses des données relatant des évènements thromboemboliques vont se poursuivre.
Le président de la République Emmanuel Macron annonce ce lundi 15 mars 2021 que la France "suspend par précaution" la vaccination contre le Sars-Cov-2 avec le vaccin d'AstraZeneca. La France attendra la publication d'un avis de l'EMA avant de se prononcer sur la poursuite de l'utilisation du vaccin du laboratoire britannique. Le vaccin AstraZeneca venait d'être étendu le 1er mars aux personnes âgées de 65 à 75 ans présentant des comorbidités et l'administration de ce vaccin étendue aux pharmaciens d'officine qui devaient commencer à vacciner cette semaine, rappelle-t-on. L’Italie et l'Allemagne ont également annoncé la suspension de ce vaccin AstraZeneca. Jeudi dernier, Olivier Véran avait indiqué que selon l'ANSM, qui suivait les recommandations de l'EMA, il n'y avait pas lieu de suspendre la vaccination par AstraZeneca en France après la survenue de cas de troubles de l'hémostase.
Le Conseil d'État confirme le 22 mars 2023 l’annulation de l’homologation du document unilatéral relatif au plan de sauvegarde de l’emploi de l’Afpa, au motif que l’administration n’a pas vérifié le respect, par l’employeur, de ses obligations en matière de prévention des risques pour assurer la sécurité et protéger la santé physique et mentale des travailleurs. Les hauts magistrats précisent à cette occasion l’étendue du contrôle par l’administration, à l’occasion de l’examen d’un PSE, du respect, par l’employeur, de ses obligations en matière de prévention des risques psychosociaux.