En plus des cookies strictement nécessaires au fonctionnement du site, le groupe AEF info et ses partenaires utilisent des cookies ou des technologies similaires nécessitant votre consentement.
Avant de continuer votre navigation sur ce site, nous vous proposons de choisir les fonctionnalités dont vous souhaitez bénéficier ou non :
Nommé référent à l'intégrité scientifique du CNRS en août 2018, le physicien Rémy Mosseri a constitué une mission à l'intégrité scientifique qui a eu à traiter 90 signalements en l'espace de deux ans et demi, indique-t-il dans une interview à AEF info. Un peu plus de la moitié de ces signalements (54) ont justifié une saisine de la mission pour établir s'il y avait eu méconduite scientifique, et à quel degré de gravité. Rémy Mosseri explique en quoi consiste ce travail d'investigation et la manière dont il est mené au CNRS, avec en particulier le souci de préserver la confidentialité et la présomption d'innocence. Ce travail minutieux et complexe prend du temps : généralement plus de six mois pour chaque signalement. Enfin, s'exprimant à titre personnel, il regrette que la loi de programmation de la recherche n'ait pas renforcé le statut des référents à l'intégrité scientifique.
Voici une sélection des brèves fonction publique de la semaine du 20 mars 2023 :