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Quels seront les effets sur la profession universitaire de la création des CPJ (chaires de professeur junior) ? Le nouveau dispositif n'a grâce aux yeux d'aucun des trois chercheurs invités (1) à participer au webinaire organisé par AEF info, en partenariat avec La revue française de pédagogie, les éditions de l'ENS et The Conversation, le 11 mars 2021. Pour François Vatin, Emmanuelle Picard et Hugo Harari-Kermadec, ce nouveau dispositif risque d'accroître la fragmentation de la profession universitaire, ainsi que la différenciation entre universités, notamment de l'Udice et de l'Auref.
La MAJ porte sur le calendrier légèrement modifié après la réunion interministérielle : trois textes remontent de l'automne au printemps (éméritat, cumul d'activité et déclaration d'intérêt préalable à l’exercice d’une mission d’expertise auprès des pouvoirs publics et du Parlement).
Le schéma réglementaire de la LPR – promulguée le 24 décembre 2020 – comporte 22 décrets ou arrêtés, selon le document présenté par le MESRI au CTU du 13 janvier 2021. Le calendrier prévisionnel prévoit deux temps forts : un 1er train au printemps 2021, puis un 2e à l’automne 2021. Il y a deux périmètres de consultation : les textes concernant la revalorisation des carrières et des rémunérations, prévus dans le cadre du protocole d’accord ; et les textes relevant du CTM et du CTU. Ce document, non définitif, doit être présenté le 14 janvier en interministériel et le 19 janvier en CTMESRI.
L’avenant 6 à la convention nationale a été approuvé par un arrêté ministériel du 24 mars publié mardi au Journal officiel. L’Organisation nationale syndicale des sages-femmes (ONSSF), majoritaire, qui avait fait opposition au texte, a "laissé faire", après que la Cnam lui a signifié que cette opposition rencontrait un problème juridique, indique le syndicat. En contrepartie, doivent d’ouvrir le 4 avril prochain des négociations d’un avenant 7, qui n’était pas prévu initialement au calendrier, afin "de rediscuter de la rémunération des sages-femmes libérales, plus basses que celles d’autres professions médicales", poursuit l’ONSSF. L’avenant 6 introduit la possibilité pour les patientes de déclarer à l’Assurance maladie le nom de leur sage-femme référente, définit les missions de cette dernière et les valorise à hauteur de 45 euros. Il valorise également l’intervention des sages-femmes réalisant des accouchements en maisons de naissance ou en plateaux techniques dans les établissements de santé.