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Installée au Japon depuis 2001, Cécile Asanuma-Brice, chercheuse au CNRS, a vécu de l'intérieur la catastrophe de Fukushima et ses impacts durables sur les Japonais. Une décennie plus tard, elle analyse la "communication de crise" adoptée par les gouvernements successifs, reposant en partie sur "l'incitation permanente au retour" dans les zones contaminées, et s'attarde sur les "morts indirects" provoqués par l'accident nucléaire de la centrale de Daiichi, notamment les suicides. "La reconstruction, envisagée comme une solution, n'en est pas une pour les populations", estime-t-elle.