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Dans un courrier transmis fin janvier 2021 à Prism’emploi, à la Fédération des entreprises d’insertion et à l’Opco Akto, la ministre du Travail, Élisabeth Borne, répond positivement à la demande des ETTi (entreprises de travail temporaire d’insertion) relative à la poursuite de la prise en charge exceptionnelle par l’opérateur de compétences de deux contrats de formation de la branche du travail temporaire, les Cipi et les CPDI, en complément des moyens mobilisés dans le cadre du volet du PIC (plan d’investissement dans les compétences) dédié à l’IAE (Insertion par l’activité économique).
"Si une majorité de parcours se caractérise par une exclusion durable du marché du travail 'classique' avant et après l’IAE, le passage par le dispositif semble, pour d’autres, infléchir la trajectoire d’emploi", révèle un document d’études de la Dares, publié en janvier 2019. Parmi les "trajectoires-types", les plus âgés voient l’IAE comme "un ultime moyen de se maintenir durablement en emploi". Les femmes reprennent, plus souvent, un CDI à temps partiel. L’étude met en avant des "parcours différenciés" selon les caractéristiques des individus, mais aussi de l’emploi occupé et du territoire.