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2 500 tests salivaires réalisés ces 25 et 26 février 2021 dans 15 écoles, puis 10 000 tests hebdomadaires à compter du 1er mars et 16 000 dès le 15 mars : c’est la montée en charge prévue dans l’académie de Bordeaux pour le dépistage de la Covid-19 en primaire qui a débuté ce jeudi. À l’école élémentaire de La Forêt à Eysines (Gironde), quelque 150 élèves ont commencé leur journée en crachant dans un tube sous l’œil des caméras, de la rectrice, de la maire et du directeur de l’ARS. Les trois quarts des familles avaient donné leur accord pour ce test PCR moins invasif que sa version nasopharyngée, s’est félicitée Anne Bisagni-Faure. Rectorat et ARS ont ciblé pour ce démarrage les écoles situées à proximité des laboratoires d’analyse habilités. La présence de cas positifs ou contacts sera un autre critère pour proposer ces tests salivaires, qui vont aussi concerner un panel de 10 EPLE.
Les enseignants et agents territoriaux de l’académie de Lille peuvent vérifier depuis début janvier 2021 s’ils sont porteurs du Covid-19 en demandant à un infirmier ou à un médecin scolaire de réaliser un test antigénique. Au 26 janvier, 4 400 personnels ont saisi cette possibilité (alors que 46 200 tests étaient disponibles). Par ailleurs, 1 200 collégiens et lycéens se sont fait dépister entre le 21 et le 26 janvier. En définitive, sur les 5 580 tests réalisés, 18 se sont révélés positifs. "L’objectif est de casser les chaînes de propagation", rappelle Valérie Cabuil, rectrice de Lille, lors d’un point presse. "Cette première campagne de tests nous a permis de nous organiser : il nous a fallu 15 jours pour former les infirmières et pour installer six plateformes. Nous sommes en ordre de marche pour pouvoir réagir en cas de flambée épidémique", commente la rectrice.