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Le 12 février 2021, la ministre chargée de l’Égalité entre les femmes et les hommes, de la Diversité et de l’Égalité des chances a lancé, aux côtés de la Défenseure des droits Claire Hédon, la plateforme de signalement et d’accompagnement des victimes de discriminations. Voulu par le président de la République Emmanuel Macron, et confié au Défenseur des droits, ce nouveau service "permettra, en lien avec les associations de lutte contre les discriminations, d’apporter une réponse efficace, rapide et gratuite à ces injustices individuelles", indique le ministère.
Le président de la République doit lancer officiellement, vendredi 12 février 2021, la nouvelle plateforme de signalement des discriminations. Le champ de cette plateforme, large, couvrira tous les champs dans lesquels peuvent s’exercer des discriminations, dont l’emploi et le logement notamment, et l’ensemble des critères légaux existants, selon l’Élysée. Rattachée au Défenseur des droits, la "plateforme anti-discriminations" doit assurer "une première analyse de la situation, un premier échange et une orientation vers les dispositifs adéquats".
"Que des personnes soient agressées, méprisées, lésées, ignorées ou simplement isolées au motif de leur couleur de peau, de leur orientation sexuelle, de leur origine réelle ou supposée, de leur âge ou leur lieu de résidence, cela blessera toujours la conscience syndicale. C’est aussi et surtout un poison toxique qui fragmente les collectifs de travail et affaiblit la capacité d’action commune." C’est pourquoi la CFDT publie un guide consacré à la lutte contre le racisme et les discriminations raciales. Un outil destiné à aider ses militants à réaliser un "travail de proximité" sur le sujet.
Après son incarcération pour des faits d’agression sexuelle sur mineurs commis en dehors de l’entreprise, un salarié reprend son activité professionnelle. Un groupe de salariés manifeste son refus de travailler avec lui. Les faits pour lesquels il a été condamné ont suscité un émoi durable au sein de la ville. La cour d’appel a pu en déduire que la condamnation pénale du salarié a créé un trouble objectif au bon fonctionnement de l’entreprise justifiant son licenciement.