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"D’ici 2023, les instances dirigeantes du groupe devront compter au minimum 30 % de femmes, en veillant au respect de cet objectif tant dans les métiers que les fonctions", annonce la Société Générale dans un communiqué du 17 décembre 2020. La banque "considère que la diversité et l’inclusion au sein de l’entreprise sont des enjeux prioritaires" et souhaite "accélérer notamment la dynamique en matière d’égalité femme-homme". C’est le sens de cet objectif validé par le conseil d’administration, qui sera appliqué aux instances dirigeantes et aux 200 principaux cadres.
La Société Générale confirme le 9 novembre 2020 les annonces parues dans la presse la veille concernant "la suppression nette d’environ 640 postes en France, sans départs contraints". Déterminé à "poursuivre l’adaptation en profondeur de ses métiers et de ses fonctions pour améliorer durablement sa compétitivité commerciale et financière dans un environnement économique dégradé et incertain et alors que les défis structurels du secteur bancaire sont exacerbés par la crise sanitaire", le groupe indique que "le métier titres et certaines directions centrales (risques, conformité, RH et communication) envisagent des ajustements d’organisation". Les dossiers seront soumis à la consultation des partenaires sociaux, précise la banque, soulignant qu’elle "maintiendra l’ensemble de ses engagements d’employeur responsable", conformément à l’accord sur l’emploi de 2019 (lire sur AEF info).
À l’issue de la NAO 2019 à la Société Générale (44 000 salariés), le SNB/CFE-CGC, la CFDT et la CFTC ont signé mercredi 4 décembre 2019 le projet proposé par la direction. Parmi les mesures applicables au 1er janvier 2020 : le maintien de la rémunération variable (bonus) pour les femmes en congé maternité et l’indemnisation à 100 % du congé paternité. La valeur du ticket-restaurant passera par ailleurs de 8,10 à 9 € (avec une contribution patronale de 60 % inchangée). Enfin, une prime défiscalisée, dite "Macron", sera versée à près de 26 000 salariés (près de 60 % de l’effectif) : 550 € pour les salaires inférieurs à 2 smic (+50 € par rapport à l’an dernier) et 400 € entre 2 et 3 smic (+150 €). Enfin, la part patronale sur le régime complémentaire de retraite passera de 1,50 % à 1,75 %. La CGT dénonce l’absence de mesure collective et une enveloppe globale inférieure à celle du CICE.