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Pour le Syndicat des audioprothésistes (SDA), les campagnes de publicité pour l’achat d’équipements audio inadaptés ou à prix cassés et la baisse simultanée des garanties proposées dans des contrats de complémentaires santé pour des appareils de classe 2 pourraient remettre en cause les bienfaits de la réforme du 100 % santé. Au 1er janvier prochain, il sera possible de s’équiper d’aides auditives sans aucun reste à charge tout en gardant la possibilité de s’équiper d’appareils techniquement plus évolués. Or, le comportement de certains acteurs remet en cause l’équilibre trouvé, selon le SDA.
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L’âge est le principal déterminant du reste à charge (RAC) après assurance maladie obligatoire, qui atteint 1 000 euros annuels en moyenne chez les plus de 85 ans, soit presque trois fois plus que pour les 36-40 ans en 2017, montre une étude la Drees. Mais la hausse du RAC avec l’âge est plus modérée que celle des dépenses de santé. Par ailleurs, 1 % des personnes ont un RAC supérieur à 3 700 €, pour une moyenne de 5 400 euros, dont près de 3 000 € de liberté tarifaire. La Drees ausculte particulièrement le millième supérieur des personnes exposées aux RAC les plus élevés, dépassant 7 600 €.