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La "situation spécifique" des AESH dans le contexte sanitaire actuel "doit être reconnue", estime le CHSCT du MEN dans un avis adopté le 3 décembre 2020. Conformément aux préconisations du secrétariat d’État chargé des personnes handicapées, il demande au MEN de mettre à disposition des AESH "un équipement complémentaire" (gel hydroalcoolique, lingettes désinfectantes, visières de protection…). Les "déplacements non urgents doivent être suspendus" afin de "limiter le brassage". Par ailleurs, l’instance pointe la dégradation des conditions de travail des AESH depuis la mise en place des Pial et la modification "en profondeur" de leurs missions. Elle demande la réalisation d’une étude d’impact sur le fonctionnement de ces pôles et leurs conséquences sur les conditions de travail des AESH.
Les règles strictes de suppléance au CSE, qui précisent par ordre de priorité et par défaut quel suppléant peut remplacer un titulaire ayant quitté ses fonctions, font primer l’étiquette syndicale sur le collège d’appartenance. C’est ce que rappelle la Cour de cassation le 18 mai 2022. Elle censure un tribunal judiciaire qui, pour décider que des élections devaient être organisées pour pourvoir un poste de titulaire devenu vacant, a jugé qu’un titulaire CFDT du premier collège ne pouvait être remplacé par un suppléant CFDT d’un autre collège qui n’aurait "pas les mêmes intérêts collectifs".