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Alors qu'une intersyndicale Snes-FSU, CGT éduc'action, Snalc, SUD-Éducation a appelé à soutenir la mobilisation des AED le 1er décembre pour dénoncer en particulier une "situation de précarité" (lire sur AEF info), plusieurs manifestations ont eu lieu ce mardi 1er décembre 2020 dans les académies. Les revendications portent en particulier sur la création d’un statut d’éducateur scolaire, l’attribution de la prime REP/REP+, des augmentations de salaire ou encore sur les recrutements.
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Dans un courrier du 17 septembre envoyé aux AED que publie le Snes-FSU d’Orléans-Tours, Katia Béguin, la rectrice, assure que, "puisque les brassages inhérents à vos activités ne peuvent guère être limités, c’est votre sens civique et des responsabilités qui permettra de freiner la propagation du virus". Le Snes "dénonce avec la plus grande fermeté" ce courrier, qui est un "un sec rappel bien peu propice à susciter une réelle adhésion". Le syndicat pointe de son côté la "responsabilité" du MEN qui, "alors que des mesures de renforcement sanitaire sont prises partout, allège le protocole sanitaire dans les établissements scolaires et met en danger les personnels". Le Snes regrette en outre "qu’aucun recrutement d’AED n’ait eu lieu ni au niveau national, ni au niveau académique, depuis le début du quinquennat alors que les effectifs augmentent dans le 2nd degré".
"Jamais dans l’Essonne les conditions de rentrée n’auront été aussi mauvaises !", alerte le Snes-Versailles dans un communiqué, le 28 juin 2019. Selon l’organisation, "pour la troisième année consécutive, la dotation en AED reste inchangée, malgré la hausse conséquente des effectifs dans le département". L’Essonne devrait en effet accueillir 1 616 élèves en plus cette année, selon le Snes. Un seul établissement aurait gagné un ETP : le lycée Alexandre Denis de Cerny, "pour 200 élèves en plus à la rentrée 2019". En outre, selon le syndicat, dans "nombre de collèges", les bâtiments sont "dégradés, inadaptés et vieillissants" et des établissements dans le Nord du département seraient "saturés". Contacté par AEF info sur ce dossier, le rectorat n’a pas répondu.
Les étudiants en contrat AED devront être présents 8 heures hebdomadaires ou 39 semaines dans l’établissement et leur rémunération sera déterminée par référence à l’indice brut 408 : ce sont quelques-unes des modifications qu’apportent deux nouvelles versions des projets de textes que s’est procurées AEF. La formation du master Meef pourrait "délivrer un certificat d’aptitude à participer à l’enseignement du français à l’étranger", selon un projet d’arrêté qui reforme le cadre national de cette formation. Un autre projet de texte précise la définition et les contenus des parcours adaptés.