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Dans une circulaire adressée le 18 novembre 2020 à ses ministres et secrétaires d’État ainsi qu’aux préfets, le Premier ministre leur demande de ne pas "mettre au second plan l’ambition de transformation du président de la République" malgré la crise sanitaire. Afin de "faire aboutir les réformes prioritaires du gouvernement" et de "poursuivre les chantiers prioritaires de la réforme de l’État" et de les rendre "visibles", Jean Castex leur fixe trois objectifs majeurs dont "une transparence totale sur les résultats" et le "renforcement du pilotage national et territorial".
Une petite souplesse dans la règle présidentielle qui limite des membres officiels des cabinets ministériels, réformes obligent. Le décret n°2019-1013 du 2 octobre 2019 modifiant le décret n°2017-1063 du 18 mai 2017 relatif aux cabinets ministériels prévoit en effet que désormais, "le cabinet d’un ministre, d’un ministre délégué ou d’un secrétaire d'État peut comprendre, en outre, un membre chargé du suivi de l’exécution des réformes". Cette nouvelle possibilité (tout est dans le "en outre") complète l’article 1er du décret du 18 mai 2017 qui, comme voulu par Emmanuel Macron, limite à dix le nombre de membres des cabinets ministériels, à huit celui des cabinets de ministre délégué et à cinq celui des cabinets de secrétariats d’État. Lors du 3e CITP, en juin, le gouvernement avait insisté sur le renforcement du suivi de l’exécution des réformes du programme Action publique 2020.
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