En plus des cookies strictement nécessaires au fonctionnement du site, le groupe AEF info et ses partenaires utilisent des cookies ou des technologies similaires nécessitant votre consentement.
Avant de continuer votre navigation sur ce site, nous vous proposons de choisir les fonctionnalités dont vous souhaitez bénéficier ou non :
Particulièrement touché par la crise, Renault annonçait en mai dernier la suppression de 15 000 postes dans le monde, dont 4 600 en France. Le 13 octobre 2020, le constructeur ouvrait une négociation sur la transformation des compétences techniques et tertiaires portant sur le renforcement des compétences, l’adaptation des effectifs dans les fonctions techniques et tertiaires et l’animation au sein des métiers d’un dialogue social de proximité. Un projet d’accord a été proposé par la direction le 10 novembre 2020, une dernière réunion de négociation étant prévue le 16 novembre.
Particulièrement touché par la crise, Renault annonçait en mai 2020 la suppression de 15 000 postes dans le monde, dont 4 600 en France (lire sur AEF info). Le constructeur annonce le 1er octobre 2020 l’ouverture d’une négociation sur la transformation des compétences techniques et tertiaires le 13 octobre. Il s’agit de l’un des chantiers définis dans un accord de méthode signé le 24 juillet dernier, outre des travaux menés sur l’avenir des usines du Nord (Maubeuge, Douai, Ruitz), de Dieppe et des Fonderies de Bretagne, et le transfert de l’activité de Choisy vers Flins. La négociation portera sur trois enjeux : "renforcer les compétences par des mesures de formation, de reconversion et de mobilité internes", "adapter les effectifs, en procédant à la réduction de 2 500 postes dans les fonctions techniques et tertiaires", et "animer au sein des métiers un dialogue social de proximité".
Le TJ du Havre ordonne le 7 mai 2020 la suspension du projet portant sur l’organisation de l’activité en vue de la reprise de la production de l’usine Renault de Sandouville pendant l’épidémie de Covid-19, dans l’attente de la régularisation de la procédure de consultation du CSE. Il juge que la convocation des membres du CSE est irrégulière, que la CSSCT aurait dû être convoquée et consultée avant le CSE, et que les membres du CSE n’ont pas reçu les documents leur permettant de rendre un avis éclairé. Renault est en outre condamné à évaluer les risques liés à l’épidémie avec les IRP.