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Home| Social / RH| Ressources humaines| Dépêche n°639494

Le statut de lanceur d’alerte refusé à un salarié ayant diffusé un entretien exprimant des propos antisyndicaux

Un consultant senior envoie un courriel à caractère politique aux salariés de la société où il est en mission. Son employeur le convoque à un entretien au cours duquel des propos antisyndicaux sont exprimés. Le salarié ayant enregistré cet entretien, il le poste sur YouTube. Licencié pour faute grave, il obtient de la cour d’appel la reconnaissance du statut de lanceur d’alerte. À tort, estime la Cour de cassation le 4 novembre 2020. Les juges n’ont en effet pas constaté "que le salarié avait relaté ou témoigné de faits susceptibles d’être constitutifs d’un délit ou d’un crime".

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