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Deux ans après la mort en novembre 2018 de huit personnes dans l’effondrement des immeubles de la rue d’Aubagne, dans le centre de Marseille, la lutte contre l’habitat indigne peine à monter en puissance. Les outils institutionnels sont bien créés pour pallier l’état désastreux du bâti de la ville révélé après le drame, mais ils ne sont toujours pas opérationnels. Sur le volet judiciaire, la SEM Marseille Habitat, propriétaire d’un des deux immeubles effondrés, est la première mise en examen dans ce dossier.
Les parents d’élèves d’une école élémentaire de la rue d’Aubagne, à Marseille, demandent une expertise "fiable et transparente" de l’état du local municipal situé sous la cour de récréation, lundi 19 novembre 2018. Celle-ci a déjà connu un affaissement en 2012, mais "personne ne connaît les travaux qui y ont été faits", s’inquiète l’Association des parents d’élèves, affiliée à MPE13, après les effondrements de deux immeubles plus bas dans la rue, le 5 novembre. Elle fait circuler des photos qui montrent l’état délabré du plafond du local. La directrice a interdit l’accès à la cour pour les récréations. Deux institutrices de l’école maternelle voisine des Bergers qui utilisent ces locaux sont en arrêt maladie après avoir tenté en vain d’exercer leur droit de retrait. Plus de 1 000 personnes ont été évacuées de leur immeuble à Marseille depuis le 5 novembre.
Publié au JO du mardi 6 juin 2023, le décret n°2023-438 du 5 juin 2023 "adapte les taux horaires minimum de l’allocation d’activité partielle et de l’allocation d’activité réduite pour le maintien en emploi applicables à Mayotte à compter du 1er [mai] 2023 [date de la dernière augmentation du Smic], en cohérence avec les évolutions prévues pour le reste du territoire national". Ce texte "relève à 7,09 euros le taux horaire minimum de l’allocation d’activité partielle applicable à Mayotte, versée à l’employeur à compter du 1er [mai] 2023" et il fixe "à 7,88 euros le taux horaire minimum de l’allocation applicable à Mayotte, versée aux employeurs qui bénéficient de l’activité partielle de longue durée au titre des heures chômées à compter du 1er mai 2023".