Continuer sans accepter

Bonjour et bienvenue sur le site d’AEF info
Vos préférences en matière de cookies

En plus des cookies strictement nécessaires au fonctionnement du site, le groupe AEF info et ses partenaires utilisent des cookies ou des technologies similaires nécessitant votre consentement.

Avant de continuer votre navigation sur ce site, nous vous proposons de choisir les fonctionnalités dont vous souhaitez bénéficier ou non :

  • Mesurer et améliorer la performance du site
  • Adapter la publicité du site à vos centres d'intérêt
  • Partager sur les réseaux sociaux
En savoir plus sur notre politique de protection des données personnelles

Vous pourrez retirer votre consentement à tout moment dans votre espace « Gérer mes cookies ».
Revenir en haut de la page
Home| Social / RH| Fonction publique| Dépêche n°638428

PLF 2021 : les députés adoptent en commission les crédits Fonction publique avec un doublement des allocations diversité

La commission des Finances de l’Assemblée nationale a adopté, le 23 octobre 2020, les crédits de la mission "Transformation et fonctions publiques" du PLF pour 2021. Ces moyens, dont le périmètre a évolué pour tenir compte du nouveau ministère du même nom, se montent à 710 millions d’euros contre 640 millions d’euros en 2020. Les crédits du programme 148 "Fonction publique", désormais rattachés à cette mission, sont de 224 millions d’euros en autorisations d’engagement et de 217 millions d’euros en crédits de paiement. Ils prévoient un doublement de l’allocation diversité à 4 000 euros.

   Merci de découvrir AEF info !

Cette dépêche est en accès libre.

Retrouvez tous nos contenus sur la même thématique.

Tester AEF info pendant 1 mois
Test gratuit et sans engagement
  • Thématiques
  • Coordonnées
  • Création du compte

Thématiques

Vous demandez à tester la ou les thématiques suivantes*

sur5 thématiques maximum

1 choix minimum obligatoire
  • Social / RH
  • 👁 voir plus
    ✖ voir moins

Fréquence de réception des emails*

Un choix minimum et plusieurs sélections possibles. Vous pourrez modifier ce paramétrage une fois votre compte créé

Un choix minimum obligatoire

* Champs obligatoires

Coordonnées

Renseignez vos coordonnées*

Veuillez remplir tous les champs
Votre numéro de téléphone n'est pas valide

* Champs obligatoires

Création de compte

Tous les champs sont obligatoires
Votre adresse e-mail n'est pas valide
Seulement les adresses e-mails professionnelles sont acceptées

Cette adresse vous servira de login pour vous connecter à votre compte AEF info

Votre mot de passe doit contenir 8 caractères minimum dont au moins 1 chiffre
Ces mots de passe ne correspondent pas. Veuillez réessayer

Votre mot de passe doit contenir 8 caractères minimum dont 1 chiffre

En validant votre inscription, vous confirmez avoir lu et vous acceptez nos Conditions d’utilisation, la Licence utilisateur et notre Politique de confidentialité

* Champs obligatoires

Valider

Merci !

Nous vous remercions pour cette demande de test.

Votre demande a été enregistrée avec l’adresse mail :

Nous allons rapidement revenir vers vous pour vous prévenir de l’activation de votre nouvel accès.

L’équipe AEF info


Une erreur est survenue !

Une erreur est survenue lors de l'envoi du formulaire. Toutes nos excuses. Si le problème persiste, vous pouvez nous contacter par téléphone ou par email :
 service.clients@aefinfo.fr  01 83 97 46 50 Se connecter

Le député LaREM du Doubs Eric Alauzet, rapporteur des crédits "Fonction publique" du PLF 2021 pour la commission des Finances, a profité de leur examen le 23 octobre 2020 pour souligner le retard en matière de complémentaire santé des agents publics. Assemblée nationale

L’examen de la mission "Transformation et fonction publiques" du projet de loi de Finances, a été rondement mené vendredi 23 octobre dans l’après-midi par la commission des Finances de l’Assemblée nationale, présidée par Cendra Motin (LaREM, Isère). Autant celui de la mission "Gestion des Finances publiques" a soulevé nombre de questions de la part des députés de l’opposition sur la réforme de la DGFIP et ses conséquences sur les emplois et les conditions de travail des agents, autant celui des crédits mis en œuvre par le nouveau ministère au périmètre élargi que porte Amélie de Montchalin n’a pas été source de débats.

Cette mission, dont les crédits budgétaires sont portés à 710 millions d’euros par le PLF pour 2021 (hors pensions), contre 640 millions d’euros en LFI 2020, regroupent le programme 148 "Fonction publique" (31 % des crédits), ceux relatifs à la rénovation des cités administratives (39 %) ainsi que ceux des trois fonds d’innovation que sont le FAIRH, le FTAP et le Fast (les 30 % restant). La présentation du député LaREM du Doubs Éric Alauzet a essentiellement porté sur le programme "Fonction publique" - il est le rapporteur pour la commission -, dont il a salué la progression, due au doublement de l’allocation diversité.

Allocations diversité : augmentation de 1,5 M€ des crédits

Les moyens du programme 148, qui regroupent les budgets de la formation des agents, des RIA (restaurants interadministratifs) et de l’ASI (action sociale interministérielle) atteignent ainsi 224 millions d’euros pour 2021 en autorisations d’engagement et 217 millions d’euros en crédits de paiement, soit une progression de respectivement 5 % et 2 %. "La plupart des postes sont reconduits pour des montants supérieurs à l’année dernière", a commenté Éric Alauzet, saluant "trois évolutions".

Première d’entre elles, le doublement de l’allocation diversité, saluée par plusieurs députés de la commission. Le montant de cette allocation, dont la campagne 2020-2021 (pour 1 340 allocations contre 1 475 en 2019-2020) a été lancée cet été (lire sur AEF info), passe ainsi de 2 000 euros à 4 000 euros par dossier pour les candidats concernés (1). Cette mesure "entraînera une augmentation des dépenses de 1,5 million d’euros en 2021 ce qui répond à la diversification des origines, des talents et des parcours souhaités par la ministre", a indiqué le député du Doubs.

Création de deux tranches pour l’AMD

Autres évolutions du programme budgétaire 148, qui concerne cette fois l’action sociale interministérielle, "l’alignement sur le régime général de l’AMD" (aide au maintien à domicile) avec la création de deux tranches supplémentaires (7e et 8e) (lire sur AEF info), "pour un surcoût de 1,25 million d’euros" (l’AMD représentait l’année dernière 3,2 millions d’euros), un montant jugé toutefois faible par Agnès van Luchene, représentante FSU et co-animatrice de la commission permanente Budget du CIAS (lire sur AEF info).

Enfin, le rapporteur a souligné la forte augmentation des crédits destinés à accélérer la rénovation des restaurants interadministatifs "avec 12,5 millions d’euros en autorisations d’engagement et 6,5 millions en crédits de paiements".

Les crédits de la mission ont été votés en fin de réunion. Aucun amendement n’avait été déposé.

Complémentaire santé : le public "à la traîne"


Précisant que le programme 148 du budget "ne résume pas l’action de la DGAFP", le rapporteur Éric Alauzet a évoqué, lors de l’examen des crédits de la mission "Transformation et Fonctions publiques", la protection sociale complémentaire, chantier en souffrance depuis plusieurs années et dont la ministre Amélie de Montchalin fait l’une de ses priorités. Lors d’un groupe de travail sur le sujet avec les organisations syndicales le 13 octobre dernier (lire sur AEF info), après la publication du rapport des inspections générales attendu depuis plus d’un an (lire sur AEF info), la DGAFP a fait savoir que le principe d’une négociation début 2021 assortie d’un accord fixant les grands principes était quasiment acquis.

"La généralisation des complémentaires santé en 2016 dans le privé a laissé le secteur public à la traîne : il n’y a pas d’obligation pour les employeurs publics de financer 50 % de la protection sociale complémentaire comme dans le privé ce qui fragilise parfois la couverture des agents", a indiqué le député LaREM du Doubs, saluant l’évolution du dossier sous l’impulsion de la ministre. "Il est important de pouvoir avancer rapidement sur le sujet pour renforcer enfin la protection sociale complémentaire dans la fonction publique car on observe une proportion croissante des agents, notamment chez les jeunes générations qui restent sans complémentaire santé", a-t-il ajouté.

(1) Les allocations pour la diversité consistent en une aide financière à destination des personnes qui préparent un concours de catégorie A ou B, notamment les élèves des classes préparatoires intégrées (CPI) au sein des écoles de service public.

à lire aussi
Fermer
Bonjour

Vous souhaitez contacter

Clarisse Jay, journaliste