En plus des cookies strictement nécessaires au fonctionnement du site, le groupe AEF info et ses partenaires utilisent des cookies ou des technologies similaires nécessitant votre consentement.
Avant de continuer votre navigation sur ce site, nous vous proposons de choisir les fonctionnalités dont vous souhaitez bénéficier ou non :
Le programme "Cohésion" de la mission "Plan de relance" du PLF 2021 prévoit "le placement en activité partielle d’environ 1 000 000 de salariés sur 45 % du nombre d’heures habituellement travaillés pendant un an [soit 450 000 ETP] pour une prise en charge publique d’environ 8 euros par heure chômée". Un budget de 4,4 Md€, auquel s’ajoutent 2,2 Md€ de l’Unédic, est ainsi programmé. Parallèlement, 588 M€ sont prévus pour prendre en charge une partie des coûts pédagogiques des formations pour les salariés placés en activité partielle de droit commun et en APLD.
L’avenant 6 à la convention nationale a été approuvé par un arrêté ministériel du 24 mars publié mardi au Journal officiel. L’Organisation nationale syndicale des sages-femmes (ONSSF), majoritaire, qui avait fait opposition au texte, a "laissé faire", après que la Cnam lui a signifié que cette opposition rencontrait un problème juridique, indique le syndicat. En contrepartie, doivent d’ouvrir le 4 avril prochain des négociations d’un avenant 7, qui n’était pas prévu initialement au calendrier, afin "de rediscuter de la rémunération des sages-femmes libérales, plus basses que celles d’autres professions médicales", poursuit l’ONSSF. L’avenant 6 introduit la possibilité pour les patientes de déclarer à l’Assurance maladie le nom de leur sage-femme référente, définit les missions de cette dernière et les valorise à hauteur de 45 euros. Il valorise également l’intervention des sages-femmes réalisant des accouchements en maisons de naissance ou en plateaux techniques dans les établissements de santé.