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"C’est un accord historique", se félicite Frédérique Vidal, ministre de l’ESRI, à l’occasion de la signature, avec les trois syndicats réformistes de l’ESR – SNPTES, Sgen-CFDT et Unsa-Éducation – du protocole d’accord "majoritaire" sur les carrières et les rémunérations, lundi 12 octobre 2020. Historique en raison des montants dont il est question (644 M€ sur sept ans) et parce que c’est le "1er accord syndical à l’échelle nationale conclu en matière d'ESR". Les trois fédérations signataires représentent 50,92 % des voix des syndicats représentés au CTMESRI. Les autres syndicats ont jusqu'au 19 octobre pour se joindre à l’accord.
La commission exécutive du SNTRS-CGT, réunie le 15 septembre 2020, "se prononce à l’unanimité, contre la signature du protocole d’accord relatif à l’amélioration des rémunérations et des carrières adjoint au projet de loi de programmation pour la recherche", rapporte le syndicat dans un communiqué. Il estime que "le ministère a cherché de façon déloyale à contraindre les organisations syndicales à signer ce protocole après un simulacre de négociation". À noter que selon les informations d’AEF info, le ministère a accepté de faire évoluer le texte sur certains points, mais d’autres changements devraient intervenir à l’issue de la prochaine multilatérale (lire sur AEF info). En plus de l’abandon du protocole, la CE du SNTRS-CGT demande celui de la LPPR et appelle les personnels à se mobiliser dès le 17 et le 21 septembre.
Voici une sélection des brèves fonction publique de la semaine du 20 mars 2023 :