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Le collectif "Pour que vivent nos langues" organise une "journée des langues régionales" ce samedi 10 octobre 2020. Des actions de sensibilisation sont prévues dans plusieurs villes de Bretagne, d’Occitanie, du pays basque, de Corse, d’Alsace et de Flandre, etc. Le programme est accessible sur ce site. Il y a un an, les députés François Alfonsi (Verts/ALE) auteur du rapport sur "les langues menacées de disparition et la diversité linguistique au sein de l’Union Européenne" et Paul Molac (Libertés et territoires, Morbihan) président du groupe d’études "Langues et cultures régionales" à l’Assemblée Nationale avaient lancé une pétition. À la date du 7 octobre, le texte, qui circule toujours a recueilli plus de 16 300 signatures.
Le collectif "Pour que vivent nos langues" appelle à un rassemblement devant le ministère de l’Éducation nationale le 30 novembre 2019. Dans une pétition initiée par le député européen corse François Alfonsi (Verts/ALE) et le député breton Paul Molac (Libertés et territoires, Morbihan), le collectif dénonce les "conséquences terribles" de la réforme du lycée "pour toutes les filières de langues régionales". Selon les 13 700 signataires (au 28 novembre), "les chutes d’effectifs atteignent jusque 70 % dans certaines classes de lycée". Les langues seraient en effet "fragilisées" par "la mise en concurrence [avec d’autres options] et par le jeu des coefficients". Ils demandent alors la mise en place d’un "enseignement immersif […] pour la sauvegarde de langues menacées".
Un cadre dirigeant est licencié pour faute grave en raison de son mode de management trop brutal et méprisant de nature à nuire à la santé de ses collaborateurs. Une cour d’appel ne peut écarter l’existence d’une faute grave au seul motif de son ancienneté.
Le représentant des créanciers, tenu d’informer le salarié de la nature et du montant des créances admises ou rejetées, doit lui rappeler dans une lettre, la durée du délai de forclusion, la date de la publication du relevé, le journal dans lequel elle sera effectuée, la juridiction compétente et les modalités de sa saisine. En l’absence de mention sur la nature et le montant des créances admises ou rejetées, le lieu et les modalités de saisine de la juridiction compétente, le délai de forclusion pour agir en justice ne court pas, retient la Cour de cassation le 23 mars 2023.