En plus des cookies strictement nécessaires au fonctionnement du site, le groupe AEF info et ses partenaires utilisent des cookies ou des technologies similaires nécessitant votre consentement.
Avant de continuer votre navigation sur ce site, nous vous proposons de choisir les fonctionnalités dont vous souhaitez bénéficier ou non :
À la tribune des Nations Unies mardi 22 septembre 2020, le président chinois Xi Jinping annonce que son pays, premier émetteur mondial de CO2, vise un pic de ses émissions de CO2 "avant 2030" et la neutralité carbone "avant 2060". Des annonces "surprenantes" selon le WRI, qui suivent celles de l’Union européenne sur le renforcement de l’ambition à horizon 2030 et la tenue du sommet UE-Chine le 14 septembre. À l’approche des cinq ans de l’accord de Paris, Emmanuel Macron évoque la tenue d’un "rendez-vous essentiel" en décembre pour "mobiliser à nouveau la communauté internationale".
Dans une déclaration présidentielle commune sur le changement climatique, le président de Chine Xi Jinping et le président des États-Unis Barack Obama développent leur "vision commune pour le nouvel accord climatique mondial qui doit être conclu à Paris en 2015", vendredi 25 septembre 2015. Ils souhaitent notamment un accord qui élève progressivement le niveau d’ambition et qui contienne un "système de transparence renforcé pour construire une confiance mutuelle et de promouvoir une application effective". La Chine confirme qu’elle veut lancer en 2017 un système national d’échange de droits d’émission et s’engage à contribuer à hauteur de 2,8 milliards d’euros aux financements climat en faveur des pays en développement.
Le président des États-Unis, Barack Obama, et le président de la Chine, Xi Jinping, annoncent, mardi 11 novembre 2014, la conclusion d’un accord commun sur le changement climatique et sur l’énergie propre, en marge du sommet de l’Apec. Par cet accord, les États-Unis s’engagent à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre de "26 à 28 %" d’ici 2025 par rapport à 2005 tandis que la Chine annonce un pic de ses émissions "autour de 2030, avec l’intention d’essayer d’atteindre ce pic le plus tôt possible et d’augmenter la part des combustibles non fossiles dans l’énergie autour de 20 % en 2030". Cet accord entre les deux pays les plus émetteurs de la planète, qui représentent plus d’un tiers des émissions du globe, est salué par la communauté internationale comme une nouvelle dynamique en vue de l’accord de Paris de 2015, même si "davantage devra être fait", selon le WRI.
Voici une sélection des brèves fonction publique de la semaine du 29 mai 2023 :